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Incroyable : des secrets d’État très graves sortent après la mort de John Fru Ndi

Le désormais ex-président du Front social démocrate (SDF) Ni John Fru Ndi est décédé il y a plusieurs jours. L’opposant camerounais était malade depuis un moment maintenant. Et c’est cette maladie qui a fini par l’emporter dans l’au-delà.

Son parti aura maintenant la lourde tâche de s’organiser sans le chairman John Fru Ndi dont le rôle pour la mise en place du SDF a été crucial pendant plusieurs années. Joshua Nambangi Osih et Cie savent ce qui leur reste à faire.

L’homme politique John a failli plusieurs fois prendre le trône présidentiel mais le leader du RDPC Paul Biya ne se laissait pas faire, il passait même par des voies anticonstitutionnelles selon John Fru Ndi qui a toujours crié au vol.

Le défunt incarne pour beaucoup de personnes la résistance et l’aspiration à un Cameroun libre où tous les droits sont garantis. Ce n’est pas le candidat à la présidentielle de 2025 Me Christian Bomo Ntimbane qui dira le contraire.

Dans un récent qu’il a fait pour rendre hommage à l’illustre disparu, l’avocat au barreau de Paris a écrit : « Le père du nouveau multipartisme au Cameroun s’en est allé. Quel modèle de patriotisme et d’attachement à l’unité du Cameroun ! Il a aimé le Cameroun jusqu’au bout ».

En effet selon lui, « le chairman Ni John Fru Ndi fait désormais partie du panthéon, de la grande lignée des nationalistes et patriotes camerounais qui ont manifesté et prouvé leur amour profond pour notre pays, son pays, le Cameroun. Alors qu’il était évacué en Europe il y a quelques semaines, il a insisté malgré les oppositions de ses proches, à rentrer mourir dans son pays, le Cameroun. Cet homme ne se voyait pas ailleurs qu’au Cameroun ».

Mais encore Me Christian Bomo Ntimbane sait que pour John Fru Ndi, « l’unité du Cameroun était non négociable. Cet amour pour l’État du Cameroun vaudra à son parti politique le Front social démocrate (SDF) de perdre des voix et des élus dans son fief politique et électoral imprenable des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Ni John Fru Ndi était aussi une force inspirante de courage et d’audace. C’est le père du multipartisme au Cameroun ».

Pour exemple, « c’est grâce à son sens du sacrifice patriotique, le 26 mai 1990 à Bamenda, à la tête d’une célèbre marche, son slogan politique « Power to the people » le poing levé, que le vent du multipartisme soufflera encore, à nouveau sur le Cameroun, après une longue interruption de vingt-cinq (25) années ».

Sa mort entraine une vague de réactions et d’émotions dont celle du journaliste Rémy Ngono. Celui-ci a évoqué sur les réseaux sociaux des choses précédemment cachées : « Secrets d’État : mort de John Fru Ndi, ses liens de sang avec Paul Biya et les ministres… les sacs d’argent… ».

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