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vive tension sur le plateau, le ton monte entre deux chroniqueurs, « J’en ai marre »


Depuis le début de cette saison 2023, notamment marquée par l’arrivée de Marie Portolano au sein de l’équipe de Télématin, la bonne ambiance semble régner en maître sur le plateau de l’émission. En témoigne un récent fou rire survenu en plein direct. Le 27 décembre dernier, une séquence a eu le don de retenir l’attention des téléspectateurs.

Le journaliste Axel de Tarlé a pointé du doigt les défis actuellement rencontrés par les bistrots français. Face à ces difficultés, ces établissements ont pris des mesures drastiques, dont la réduction des tarifs de leurs plats du jour, ainsi que la préférence pour l’utilisation d’ingrédients moins onéreux. Le chroniqueur a alors mentionné l’utilisation du mou de veau, une préparation culinaire qui n’a pas été accueillie favorablement par les invités présents sur le plateau de France 2.

Télématin, le rendez-vous quotidien ponctué de surprises

En clôture de la chronique d’Axel de Tarlé, Marie Portolano a pris la parole pour annoncer la suite de l’émission. « Tout de suite, ce sont les 4 Vérités. Thomas Sotto, vous recevez ce matin la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet », a déclaré l’ex-journaliste de Canal+ et de M6. Toutefois, son annonce s’est déroulée dans un bruit de fond animé : « Ils discutent déjà, ils sont très dissipés là-bas. », a-t-elle lancé.

La présidente de l’Assemblée nationale et le co-animateur de Télématin ont continué d’échanger sur la chronique précédente. Thomas Sotto a lancé auprès de son interlocutrice : « On a compris que le mou de veau, ce n’était pas votre préférence. » À quoi la femme politique a répondu avec un sourire : « Non ». Une petite note d’humour qui n’était plus au rendez-vous lors de l’émission du 28 septembre.

Un sujet clivant qui a agité les chroniqueurs

L’atmosphère s’est tendue après la diffusion d’un sujet portant sur l’impact des Jeux Olympiques en France. Une chroniqueuse a exprimé sa frustration, entraînant une vive discussion avec son collègue sur le plateau. Tout a débuté avec l’intervention de Julia Livage. La journaliste a abordé un sujet qui la contrarie profondément : la suspension des tournages de films pendant toute la durée des Jeux Olympiques.

« Est-ce que vous n’avez pas l’impression que le monde s’arrête ? En tout cas le monde de la culture. Et moi, ça m’énerve. J’en ai marre, je préfère le dire. On a vu que les festivals seraient terriblement impactés, on vire les bouquinistes à Paris, et maintenant, on empêche les films d’époque et d’action de tourner. Et pas pendant un mois, pendant 7 mois ! », a-t-elle déploré. Samuel Ollivier, le collègue de Julia Livage, a, quant à lui, exprimé un point de vue diamétralement opposé.

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« C’est symptomatique du mépris total de la société française »

Le chroniqueur a vigoureusement défendu l’effervescence entourant les Jeux Olympiques et les mesures mises en place, tout en critiquant sévèrement l’industrie culturelle. « C’est symptomatique du mépris total de la société française et du monde de la culture vis-à-vis du sport. On a une chance inouïe en France d’accueillir les Jeux, c’est la première fois depuis 100 ans. Des milliers de gamins vont découvrir le sport grâce à nous. Évidemment que le monde doit s’arrêter ! Ce sont les esprits chagrins qui vont nous dire à chaque fois, comme toi, pardon Julia, que le métro va être bondé, les prix des hôtels et des restaurants vont augmenter… mais les Jeux, c’est une chance inouïe pour nous », a-t-il défendu.

Pour conclure son point de vue ? « Vous êtes tellement habitués dans le monde de la culture à être prioritaires, à être subventionnés. C’est 4 milliards d’euros cette année pour la culture contre 1 milliard pour le sport, année des Jeux Olympiques. Bah pardon, il va falloir passer le périphérique pour aller tourner, ça va faire drôle à quelques réalisateurs et ils vont découvrir la province, mais ça va permettre de remettre la priorité au sport. » Un avis rejoint par Thomas Sotto qui s’est dit, lui aussi, dans la « team Samuel Ollivier ».





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