InternationalSociété

Une plainte contre Juan Branco qui révèle un autre gros scandale impliquant le frère d’Antoine Diome


→ A LIRE AUSSI : Armando Broja débute et marque avec Chelsea, des supporters s’en prennent à Nicolas Jackson

Le frère aîné du ministre de l’intérieur sénégalais, M. Franck Nianky Diome, est devenu titulaire d’un permis minier à Keur Samba en 2018, prévoyant près de 2 milliards de Francs CFA d’investissements.

→ A LIRE AUSSI : Amadou Bâ intronisé par l’APR le 29 octobre

L’accusation est faite par Juan Branco, l’avocat de Ousmane Sonko. M. Franck Niaky Diome, qui devait jusqu’alors jongler entre les emplois pour survivre, circule désormais dans une BMW rutilante au cœur de Dakar, et a des projets d’investissement à Sidney, dévoile la robe noire repris par Jotna Media.

→ A LIRE AUSSI : Mise à sac du consulat du Sénégal à New-York : 4 suspects libérés

« Nous doutons des compétences qui permettraient à un serveur et agent de recouvrement d’assurance de se voir attribuer du jour au lendemain des permis miniers par le gouvernement que son frère servait et s’apprêtait à intégrer. Nous avons donc signalé la situation des frères Diome aux autorités australiennes, et demandé une vérification scrupuleuse de tous les mouvements de fond intervenus ces dernières années », a-t-il déclaré.

« Nous prévenons qu’il s’agit d’une premier étape, et qu’un certain nombre de personnalités qui se reconnaîtront, dont un haut-responsable ayant envoyé sa famille au Canada et un responsable politique de premier plan disposant de sublimes propriétés dans l’ancienne métropole, dont il dispose également de la nationalité, feront l’objet de similaires investigations. »

Face à ces accusations, Frank Nianky Diome, demi-frère du ministre de l’Intérieur, Antoine Diome, a porté plainte contre Me Juan Branco pour diffamation. D’après L’Observateur, qui donne l’information, le plaignant a saisi à la fois les juridictions sénégalaises, françaises et australiennes contre l’avocat franco-espagnol.

Frank Diome a rejeté ces affirmations de l’avocat franco-espagnol. Il les qualifie de «fausses» dans des propos rapportés par le journal du Groupe futurs médias. S’il admet avoir obtenu le permis en question au nom de sa société dénommée Ebony Australia Trades & Services (Eats) Sarl, Diome signale que «les recherches ont été infructueuses et le projet est tombé à l’eau».



Source link

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp