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Un enseignant retrouvé mort à Douala, un mystère qui suscite le choc


Dans le quartier de Makepe Missoke à Douala, un enseignant du nom d’Alexander Itoe, âgé d’une quarantaine d’années, a été retrouvé mort et en état de décomposition dans sa chambre, plongeant ses voisins dans le choc et la consternation.

Le corps d’Alexander a été découvert le jeudi 25 janvier au matin, allongé sur le sol de sa chambre, ayant été hors de vue depuis le lundi.

Les détails entourant sa disparition ont laissé les résidents sous le choc et dans l’incompréhension.

Un voisin du défunt enseignant a expliqué qu’ils ont été attirés dans sa chambre par une forte odeur.

« Ce matin, certaines personnes sont venues le chercher. Nous avons même frappé à sa porte mais personne n’a répondu », a expliqué Tsague Jean, un voisin du défunt Alexander.

« Nous avons commencé à percevoir des odeurs étranges de sa chambre. Alors que certains appelaient le propriétaire, d’autres appelaient la police. Quand ils sont arrivés, nous avons forcé la porte et découvert son corps allongé par terre », a-t-il ajouté.

Un collègue du défunt, Ekosani Alexander, a confirmé avoir vu le défunt enseignant le lundi soir avant sa disparition soudaine.

« La dernière fois que nous avons parlé était lundi soir, car je lui donnais un cours et nous devions discuter du nombre de jours où il viendrait donner le cours, ainsi que du coût », a déclaré Ekosani.

Il a ajouté que toutes les tentatives pour le joindre au téléphone depuis lors sont restées vaines.

« Même ce matin, je l’ai appelé mais il n’a pas répondu, alors j’ai dit à la parente que je la rappellerais », a-t-il ajouté.

Les voisins affirment que l’enseignant n’a montré aucun signe de maladie avant sa mort tragique.

Le propriétaire du défunt, Ngamkoue Elie, a déclaré qu’il n’était pas au courant de tout problème de santé qu’il aurait pu avoir.

« Il ne m’avait jamais parlé de problèmes de santé. En fait, il payait toujours son loyer à temps. »

Les circonstances entourant la mort de l’enseignant restent obscures. On ignore s’il a été tué, s’il est mort de manière naturelle ou s’il a mis fin volontairement à sa vie.





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