un cri au scandale sur le rouge de Ronald Araújo
Cette scène reste au cœur des débats en Espagne : l’expulsion de Ronald Araújo à la 30ème minute du match continue de diviser les opinions.
L’incident, qui a vu l’arbitre roumain, Monsieur István Kovács, sortir un carton rouge direct à l’encontre du défenseur uruguayen du FC Barcelone, est particulièrement controversé. L’action en question a commencé lorsque Bradley Barcola, attaquant du PSG, a été lancé en profondeur et a reçu un long ballon. Araújo, dans sa tentative de stopper l’attaquant, a involontairement heurté Barcola avec son avant-bras, entre le cou et le visage. Sans hésitation, l’arbitre a jugé le geste suffisamment grave pour mériter une expulsion, laissant Barcelone réduit à dix joueurs pour le reste de la rencontre.
L’ancien arbitre international espagnol, Eduardo Iturralde González, n’a pas hésité à exprimer son mécontentement face à cette décision. Interrogé sur l’incident, il a critiqué avec véhémence le choix de l’arbitre, suggérant que la sanction était excessive et a alimenté une vive discussion sur les critères de jugement des fautes dans le football de haut niveau. Cette expulsion a indéniablement influencé le déroulement du match, ajoutant une couche supplémentaire de controverse et de débat parmi les experts et les fans du football.
L’incident impliquant Ronald Araújo continue de susciter la polémique en Espagne, particulièrement après les commentaires d’Eduardo Iturralde González, ancien arbitre international. Sur les ondes de la Cadena SER, González a fermement contesté la décision de l’arbitre István Kovács d’expulser le défenseur uruguayen lors du match contre le PSG. Selon lui, « Ce n’est pas une faute. Le PSG se jette, Barcola se jette. La VAR n’intervient même pas parce qu’à partir de ce moment, ils considèrent la décision comme bonne et valident ainsi le choix de Kovacs. » Il décrit l’action comme un simple contact où Araújo a posé sa main sur l’épaule de l’attaquant parisien dans la lutte pour le ballon, et où ce dernier « se laisse tomber tout seul. »
González est catégorique : « Pour moi, il n’y a aucune faute, ça c’est une certitude. Mais si l’arbitre a constaté une faute et la siffle, le rouge est alors incontestable. » Cette déclaration souligne la complexité et la subjectivité dans l’interprétation des règles du football, et le débat continue de faire rage en Catalogne, alimentant une série de discussions passionnées et de critiques dans la presse et parmi les supporters.
