Thomas Müller ridiculise le PSG et City
Mercredi soir, lors du match contre Manchester United, Thomas Müller a célébré sa centième victoire en Ligue des Champions.
Bien que son style de jeu et son physique diffèrent considérablement de ceux des footballeurs modernes, Thomas Müller reste un joueur qui a laissé sa marque sur le 21ème siècle. Il est un pilier incontesté du Bayern Munich et de l’équipe nationale allemande depuis le début de sa carrière. Outre sa contribution à la Coupe du Monde avec 10 buts marqués lors de ses deux premières participations, il est également l’une des figures emblématiques de la Ligue des Champions au 21ème siècle.
Lors de la victoire impressionnante du Bayern Munich face à Manchester United mercredi, le champion du monde 2014 n’était pas titulaire, en raison de l’émergence de Musiala au cours des derniers mois. Cependant, il est entré en jeu en fin de match et a contribué à la victoire de son équipe. Il a atteint un jalon significatif en enregistrant sa centième victoire en Ligue des Champions. L’ailier allemand réalise une performance exceptionnelle en devenant seulement le troisième joueur à franchir cette barrière, derrière Cristiano Ronaldo (115 victoires) et Iker Casillas (101 victoires).
Thomas Müller plus capé que le PSG et Manchester City
En termes de succès en Ligue des Champions, Thomas Müller peut se comparer à de nombreux clubs européens. En effet, ce dernier compte plus de victoires dans la compétition que des clubs prestigieux tels que l’Inter Milan (98 victoires), le Borussia Dortmund (81 victoires), le Paris Saint-Germain (78 victoires), l’Atlético Madrid (76 victoires) et même Manchester City (66 victoires). Seuls 14 clubs comptent plus de victoires que lui en C1, avec le Real Madrid en tête avec ses 286 succès.
«Avec le recul, cela fait longtemps que j’ai pu passer ici en Ligue des Champions», a déclaré Müller, le match d’ouverture des champions record marquant sa 16e saison en Ligue des champions, égalant Zlatan Ibrahimović et Xavi à la 12e place conjointe du classement de tous les temps. Mais Müller ne serait pas Thomas Müller s’il n’avait pas le dernier mot sur son jalon : «Mais je n’ai pas encore fini, et donc c’est juste un poste de rassemblement», a promis le milieu offensif.
