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Coup d’Etat: voici l’immeuble d’Amougou Belinga où tout se préparait (vidéo)

Amougou Belinga serait-il impliqué dans d’autres affaires plus graves que l’assassinat sauvage et barbare du journaliste Martinez Zogo ? C’est ce qu’affirme son ancien patron. Gilbert Baongla. Selon celui qui se présente comme le fils aîné du chef de l’Etat, Amougou Belinga est propriétaire d’un immeuble en chantier près de la présidence de la République du Cameroun. C’est là qu’il aurait placé toujours selon Balongla les appareils pour suivre les communication de tous le pays. Il révèle également que cette nouvelle construction était très proche des émetteurs de la garde présidentielle. Pour lui, il n y a aucun doute, un projet de déstabilisation du pays était en gestation.

« Ce chantier, c’est là où il a enterré tous les appareils pour écouter la nation. (…) Cette maison se trouve dans un quartier qui est mitoyen à la présidence. Quartier Febe village, derrière la colline où sont installés les émetteurs de la garde présidentielle et des différentes stations FM de la ville de Yaoundé. Quand on dit que Amougou est dans l’organisation de déstabiliser le pays, les gens ont nié », a-t-il déclaré dans une vidéo mise en circulation il y a quelques heures.

Très en colère, Gilbert Baongla menace de faire sortir d’autres informations encore plus accablantes pour Amougou Belinga s’il bénéficiait encore d’un traitement de faveur à la prison centrale de Yaoundé Kondengui. Il s’ oppose a toute libération du patron du groupe l’Anecodote. Amougou Bélinga selon lui ne doit même pas bénéficier d’une permission.

A en croire Gilbert Baongla, plusieurs personnalités proches du chef de l’Etat seraient fortement impliquées dans le plan de déstabilisation en gestation. Il a cité entre autres, le DGRE Maxime Eko Eko et le directeur du cabinet civil de la présidence de la République, Samuel Mvondo Ayolo.

« Il visitait ce chantier nuitamment à deux avec des torches. Il est avec son complice Mawime Eko Eko. Ayolo allait dans ce chantier tous les jours avec son chef de station », a-t-il indiqué.

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