CultureInternational

« Comme une célébration » : les touchantes confidences de Charlotte Gainsbourg sur les obsèques de sa mère, Jane Birkin



Le 24 juillet dernier, les proches de Jane Birkin étaient réunis à l’église Saint-Roch pour rendre un ultime hommage à la chanteuse. Interrogée par Les Inrocks, Charlotte Gainsbourg est revenue sur cette cérémonie « éprouvante ».

Elle était considérée comme « l’Anglaise préférée des Français ». Le 16 juillet dernier, Jane Birkin, icône du cinéma, de la chanson et de la mode, a été retrouvée morte à son domicile à l’âge de 76 ans. Elle laissait derrière elle deux filles : Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon. Sa troisième fille, Kate Barry, est quant à elle décédée en 2013 après une chute du quatrième étage de son appartement. En marge du festival Lumière de Lyon, la fille de Serge Gainsbourg était revenue sur la disparition de sa mère : « Elle me manque tellement que je ne formule encore rien. Je n’ai pas encore osé imaginer ce que ce film signifiera à mes yeux dans le futur », avait-elle expliqué avant une projection. « Toutes ces questions que j’allais poser, impatiente d’entendre ses réponses, ses réactions. Nous avons eu un immense plaisir à nous rencontrer toutes les deux, nous rapprochant un peu plus à chaque fois, sa générosité grandissant au fur et à mesure qu’elle parlait de tout« , avait-elle poursuivi.

Charlotte Gainsbourg évoque les obsèques de sa mère

Le 24 juillet dernier, les proches de Jane Birkin étaient réunis à l’église Saint-Roch pour rendre un ultime hommage à la chanteuse. Interrogée par Les Inrocks, mercredi 29 novembre, Charlotte Gainsbourg est revenue sur cette cérémonie « terrible » et « éprouvante », qui a « laissé la place aux gens de venir » grâce aux écrans géants installés sur le parvis de l’église. Elle explique notamment avoir vécu ce moment « comme une célébration », ce qui n’avait pas été le cas lors de l’enterrement son père, Serge Gainsbourg, décédé il y a trente ans. « Pour mon père, il ne s’est rien passé. On a fait ça presque en catimini, à Montparnasse. C’était d’une tristesse », s’est souvenue la campagne d’Yvan Attal. Des confidences touchantes.



Source link

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp