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cette acheteuse balance sur les mensonges de l’émission, « C’est de la télé-réalité »


« Tout le monde est remplaçable, et heureusement d’ailleurs. » C’est Julia Vignali qui le dit. Ce jeu des chaises musicales auquel se plie le PAF d’une saison à l’autre, l’animatrice ne le connaît que trop bien.

Après avoir longtemps officié à la présentation du Meilleur pâtissier sur M6, la compagne de Kad Merad a fini par rejoindre France 2 en 2021 pour finalement lâcher les rênes de Télématin l’été dernier et reprendre avec succès celles d’Affaire conclue. Toutefois, avant de se faire complètement adopter par les fidèles du rendez-vous phare de l’après-midi, la remplaçante de Sophie Davant a pu essuyer quelques critiques.

Patricia Casini-Vitalis, commissaire-priseuse d’Affaire conclue, dit adieu à la formule portée par Julia Vignali

« Je sais très bien que quand vous prenez la place de quelqu’un de populaire, au début les gens s’indignent. Puis, très vite, le public s’habitue à vous, donc je savais qu’on allait passer par toutes ces phases », a-t-elle pu confier dans les colonnes de Soir Mag quatre mois après son arrivée au hangar. Si elle se sent désormais tout à son aise au milieu des objets anciens et des experts du milieu, pas sûr que sa façon de faire ait convaincu tous les vieux de la vieille.

Il y a quelques semaines, la très appréciée du public Patricia Casini-Vitalis, commissaire-priseuse présente dans Affaire conclue depuis les débuts, a annoncé sur ses réseaux sociaux qu’elle ne jouerait plus du marteau dans le programme. Dans la mesure où notre professionnelle n’avait plus remis les pieds sur le plateau depuis belle lurette, les inconditionnels d’Affaire conclue n’ont pas vraiment été surpris par cette décision.

Une réalité tronquée par l’émission Affaire conclue

« J’ai pris le temps ce week-end de regarder les replay d’Affaire conclue nouvelle mouture, avec Julia Vignali. Tout bien réfléchi, je ne souhaite pas que mon contrat avec la Warner soit renouvelé pour la saison 2024/2025 », s’est-elle contentée de déclarer sur Instagram. D’abord succinctes, ses explications se sont récemment étoffées dans les pages de L’hebdo du vendredi.

La commissaire-priseuse a, dans un premier temps, déploré que la réalité de son métier n’était pas bien représentée dans l’émission. « Après sept saisons passées sur ce plateau, environ deux millions de téléspectateurs pensent que mon métier se résume à estimer des objets et à raconter de belles histoires. Dans la vraie vie, j’estime des biens, c’est vrai, mais à leur juste valeur », a-t-elle pu confier.

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Avant de poursuivre, sans détours : « C’est de la télé-réalité sur une chaîne publique, mais elle ne reflète pas la réalité du marché de l’art. On entretient le suspense, on fait grimper les enchères même si l’objet ne le justifie pas. »

Pour illustrer un problème dont la majorité des téléspectateurs ne savent rien, Patricia Casini-Vitalis a pris l’exemple d’un bronze de Villanis. « Quand la pièce se vend plusieurs milliers d’euros dans l’émission, dans les faits, il vaut plutôt 700 €, 1 000 € grand maximum », a-t-elle ainsi assuré.





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