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Un Coup Dur pour la Liberté de la Presse au Cameroun


Exil de plusieurs journalistes camerounais de renom, originaires de l’Ouest, suscite des interrogations. Hamann Mana, Rodrigue Tongue, Paul Tchaouta, Cédric Noufele, Jean Bruno Gagné, Mimi Moffo et Boris Bertholt ont tous quitté le Cameroun pour divers pays tels que les États-Unis, l’Allemagne, le Canada, l’Angleterre et la France.

L’homme politique Saint Éloi Bidoung se demande ce qui se cache derrière ces départs soudains.

Ces journalistes, connus pour leur travail critique et leur engagement en faveur de la liberté de la presse, ont tous quitté le Cameroun dans des circonstances qui restent floues. Certains évoquent des menaces ou des pressions, tandis que d’autres parlent de la recherche de meilleures opportunités professionnelles.

Ces départs soulèvent des questions sur la liberté de la presse et les conditions de travail des journalistes au Cameroun. Ils mettent en lumière les défis auxquels sont confrontés les journalistes dans le pays, notamment la censure, l’intimidation et parfois même la violence.

Selon le dernier rapport annuel de l’organisation Reporters sans frontières (RSF), le Cameroun a reculé dans le classement mondial de la liberté de la presse .

L’exil de ces journalistes est un signal d’alarme pour la liberté de la presse au Cameroun. Il est essentiel que les autorités prennent des mesures pour garantir la sécurité et la liberté des journalistes, afin qu’ils puissent continuer à informer le public sans crainte de représailles.





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