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REVELATION : Voici encore pourquoi Bruno Bidjang interdit de quitter Yaoundé , la Gendarmerie en action

C’est une information reçue de plusieurs sources mais dont l’intéressé même n’a pas confirmé. Il nous revient que le Directeur Général des médias du groupe l’Anecdote, bénéficiant d’une mise en liberté provisoire dans l’affaire Martinez Zogo n’est pas libre de ses mouvements. En effet, selon les informations, Bruno Bidjang aurait été interdit hier à 15h de quitter Yaoundé pour la ville de Douala .

« Le gendarme Major lui a bien dit qu’il a une note qui lui donne droit de ne pas laisser les présumés coupables de l’affaire Martinez Zogo de quitter la ville d’Ongola . Bruno Bidjang était invité à l’anniversaire de l’un de ses amis mais, comme le jeune gendarme Sébastien Zogo a été assez prudent, il a eu l’amabilité de lui dire jamais . Une patrouille est venue raccompagner le jeune directeur de Zomloa à Yaoundé . La scène s’est passée à Mbankomo à la sortie de Yaoundé . Disons juste bon boulot au jeune gendarme qui veille au grain sur l’affaire de son homonyme » , indique une source.


Coopération avec les enquêteurs: Remy Ngono révèle pourquoi Bidjang a été libéré

Alors que plusieurs Camerounais se demandaient ce que Bruno Bidjang faisait en garde à vue, le journaliste a été libéré ce samedi 04 mars, après son passage devant le Tribunal militaire.

Bruno Bidjang est libre. Il est retrouvé la chaleur de sa petite famille, après 25 jours de détention dans des cellules du Secrétariat d’Etat à la Défense, chargé de la gendarmerie.

Si la nouvelle de sa libération est accueillie avec un peu de joie, certaines sources bien renseignées notent qu’il n’est pas encore sorti d’affaire.

En effet, selon le très informé Remy Ngono, « Bruno Bidjang n’est pas encore sorti d’affaire. Juste un répit…Il est contraint à rester à la disposition de la justice », écrit Remy Ngono qui laisse glisser une autre information sur la liberté provisoire du DG des médias du groupe l’Anecdote, dans une autre publication.

« Bruno Bidjang craque et trahit son patron », écrit-il.

L’on le savait déjà, le journaliste, selon nos informations, s’est très bien comporté, lorsqu’il était en détention au SED. Il aurait également bien « coopérer » avec les enquêteurs qui lui auraient posé plusieurs questions auxquelles il avait répondues sans rien cacher.

Les révélations de RFI sur le cas Bruno Bidjang

Selon nos confrères de Radio France International (RFI), depuis son arrestation le 06 février 2023, Bruno Bidjang n’a été auditionné qu’une seule fois et son audition n’a duré que 30 minutes.

RFI ne comprend pas ce que fait le DG des médias du groupe l’Anecdote au SED, alors qu’il n’a été auditionné que pendant 30 minutes, depuis qu’il a été arrêté dans le cadre de cadre des enquêtes pour élucider le meurtre de Martinez Mbami Zogo.

Dans un article, titré: « la détention du journaliste Bruno Bidjang intrigue », qui porte la griffe de son correspondant à Yaoundé Polycarpe Essomba, RFI écrit ceci: « Depuis son interpellation, des sources proches de l’enquête rapportent qu’il a été auditionné une seule fois, et pour à peine une trentaine de minutes. Toutes choses qui poussent certains médias et une partie de l’opinion à se demander ce que fait Bruno Bidjang au SED. Que lui reproche-t-on exactement ? Mystère… ».

« Pour Bruno Bidjang, journaliste au groupe L’Anecdote, les choses sont allées très vite. Le 30 janvier 2023, jeune confrère de 30 ans, par décision de son président directeur général, Jean-Pierre Amougou Belinga est promu directeur général de l’ensemble des médias du groupe. Un conglomérat qui compte en son sein, outre le journal L’Anecdote, les télévisions Vision4, Telesud et la radio Satellite fm. La fonction est créée en même temps que sa nomination au poste. Mais Bruno Bidjang n’aura guère le temps d’arborer le manteau de ses nouvelles responsabilités. Une semaine plus tard en effet, le 6 février 2023, le journaliste est interpellé chez lui aux aurores, en même temps que son patron Jean-Pierre Amougou Belinga. Les deux, avec d’autres, sont ensuite placés en garde à vue au secrétariat d’État à la Défense (SED), qu’ils n’ont dès lors plus quitté, dans le cadre des enquêtes liées à l’assassinat de Martinez Zogo », écrit également la radio sur son site internet d’actualité.

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