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Partouze à domicile : le chargé de mission à la présidence Philippe Mbarga Mboa est sur la toile

Le journaliste Boris Bertolt a publié le contenu d’une lettre ouverte lundi le 09 janvier 2023 sur les réseaux sociaux. Dans la note adressée à l’homme politique Philippe Mbarga Mboa, on apprend beaucoup de choses jusque-là cachées.

Révélations explosives sur le chargé de mission à la présidence de la République, Philippe Mbarga Mboa dans une lettre ouverte anonyme

Même si je suis persuadé que tu n’es pas chrétien pratiquant, je te propose tout de même la lecture de cet évangile de Mathieu sur les talents (Mt 25, 14-30).

Philippe Mbarga Mboa, qu’as-tu donc fait des talents légués par ton père ? Qui ignore que le seul nom de ton défunt père suscitait admiration, influence, assurance et même rassemblement.

Il t’a tout légué, d’ailleurs tu ne cesses de dire à qui veut l’entendre que tu es né avec une cuillère en or dans la bouche. Mais qu’as-tu donc fait de cet immense patrimoine ?

Les terres bradées, les maisons en état de décrépitude avancée, la famille en lambeaux, etc. Et toi même, es-tu encore digne d’être appelé Homme ?

Qui ignore que c’est toi qui as importé et imposé l’homosexualité au sein de ta communauté et dans ton milieu socioprofessionnel.

D’ailleurs tout le monde sait que ton mentor Ombga Damase et ton coépoux Martin Okouda faisiez des partouzes dans son domicile ou alors tu préfères que je précise qu’il vous prenait à deux d’où votre célèbre sobriquet les trois mousquetaires…

Ah ! J’allais oublier, un certain Amougou Noma paix à son âme, en sait quelque chose. Comme si leur mort ne te disait rien, tu continues dans ta sale besogne, pourtant la nature te parle. Qui ignore que ta maison de Nlongkak est un hôtel particulier où la sodomie règne en grand maître.

On sait que tout homme Bantu digne et respecté est Homme si et seulement si celui-ci a construit une maison avec femme et enfants. Malheureusement, Toi tu n’as rien. Là aussi, la nature te parle.

Qui ne se souvient pas des pleurs de Paméla, la fille de celle qui te servait de « femme ». Elle qui t’accuse d’avoir tué sa mère. Je parle de celle que tu as enterré dans un cercueil coupé cloué qui ne coûte même 50 000 francs CFA.

Toute la famille sait que c’est parce qu’elle t’avait surpris en pleine partouze de sodomie. Fatiguée de ces pratiques contre nature qui avaient pris des proportions effrayantes et inquiétantes, elle a décidé à cette époque de mettre un terme à cette vie diabolique, en quittant le foyer.

Tu t’es précipité de la déclarer atteinte du corona virus et tu l’as envoyé à Orca contre son gré, où elle a curieusement trouvé la mort. Pourtant, le test covid réalisé plusieurs fois était négatif, selon le corps médical.

Sans aucune pitié pour cette pauvre orpheline, tu as imposé à ta « fille » Paméla de te rejoindre sur le lit conjugal de sa défunte mère.

Fatiguée de ce harcèlement ******, elle a dû s’éloigner de toi, même si elle a su résister dans un premier temps à ce harcèlement psychologique, comme d’habitude tu as usé des pratiques mystiques, pour détruire son foyer et la ramener auprès de toi avec tous ses enfants.

Aujourd’hui, ton beau-fils exige le divorce, t’accusant d’entretenir des rapports incestueux avec ta fille. Là encore la nature te parle.

Et même si certaines femmes qui ont eu des rapports sexuels avec toi confessent que tu n’as jamais éjaculé, je me demande si la petite Paméla sera vraiment épanouie.

D’ailleurs, quel est même cet homme qui n’a jamais jouit sur une femme. Tu devrais peut-être interroger cette nature qui ne cesse de te parler (…).

Sais-tu pourquoi la clinique le Jourdain t’a pris en charge alors que tu étais mourant ? C’est parce que la nature voulait te parler.

Nous savons tous que c’est toi qui as monté le DGSN de retirer le passeport du promoteur de cet hôpital.

Et c’est ce même Jourdain qui t’a sauvé la vie. Savais-tu que c’est là qu’on pouvait sauver ta vie ? Là aussi la nature te parle ! Dieu étant amour, il t’a fait revenir à la vie, puisque tu étais mort.

Tu sais bien qu’un Beti qui ne laisse ni veuve ni enfants, n’a pas droit à l’Essani. Là aussi c’est la nature qui te parle ! Anù Ewondo.

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