malgré la polémique, ce film avec Philippe Lacheau et Tarek Boudali prend la 1ère place du classement
Place à la rigolade et à la légèreté sur Netflix. En effet, en cette période de l’Avent, la plateforme a enrichi son catalogue de comédies cultes à savourer enroulé dans un plaid, un bon chocolat chaud à la main.
À moins que vous fassiez partie des rares chez qui la ferveur autour des fêtes de fin d’année donne envie de plonger dans un thriller psychologique tordu, vous apprécierez (re)découvrir ce classique d’un genre que le cinéma français maîtrise à merveille. Depuis mercredi 29 novembre, Le Père Noël est une ordure cartonne sur Netflix.
La Bande à Fifi débarque sur Netflix
Intemporelles et indémodables, les comédies jouées avec brio par la troupe du Slendid continuent de faire rire un public né bien après le premier succès de Thierry Lhermitte, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Marie-Anne Chazel et compagnie. Si aujourd’hui la bande du village vacances ne tourne plus de grands longs métrages populaires ensemble, d’autres comédiens barrés ont pris le relai.
Ceux qui n’ont pas pu se retenir de pouffer devant LOL : qui rit, sort ! savent très bien de qui il est ici question. À l’époque de nos Bronzés, La Bande à Basile faisait danser les foules. Aujourd’hui, c’est celle à Fifi qui les fait se déplacer au cinéma.
Épouse-moi mon pote se hisse à la première place du Top 10 Films France de Netflix
Six ans après avoir rencontré le succès en salles, la comédie Épouse-moi mon pote est disponible sur Netflix depuis vendredi 1ᵉʳ décembre. De façon peu surprenante, la réalisation de Tarek Boudali, complice à l’écran de Philippe Lacheau, est parvenue à se hisser à la première place du Top 10 Films France, faisant presque oublier la polémique ayant accompagné sa sortie.
Le pitch en quelques mots : un étudiant marocain menacé d’expulsion se marie avec son meilleur ami. Ce scénario, nombre d’associations l’avaient accusé de promouvoir l’homophobie. En 2017, Joël Deumier, président de SOS Homophobie, était monté au créneau face à la manière dont le réalisateur avait représenté la communauté queer. « Les blagues qui sont faites tendent à surfer sur les stéréotypes qu’on a sur les homosexuels », avait-il alors déclaré sur RMC.
@tarekboudali BOUH! 🤣🤣🤣 #3JoursMax
♬ son original – tarekboudali
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Avant de poursuivre : « On ramène par exemple beaucoup les situations au ****. Il y a une réplique où on dit aux deux personnages : ‘Ce soir, vous allez sabrer le champagne’, et ils répondent : ‘Non, on va plutôt sabrer des b**es’. Il faut bien se rappeler qu’un des stéréotypes associés à l’homosexualité, c’est l’hypersexualisation. Et ça, ce n’est jamais associé à l’hétérosexualité ».
De son côté, Tarek Boudali avait évoqué cette polémique dans les colonnes du magazine GQ. « C’est difficile, franchement. Quand le lendemain de la sortie de ton premier film, un ou deux journalistes sous-entendent que tu es homophobe… Forcément, ça ne fait pas du bien. En aucun cas, je suis homophobe, raciste, misogyne… », avait confié le comédien. Du reste, il avait révélé avoir fait lire le scénario à « des amis gays ». « Je les avais fait venir sur le tournage, leur avaient montré les premiers montages. Et tout allait très bien », avait-il ajouté.
