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“Ma vie est en suspens” : le gros “ras-le-bol” d’Amandine Pellissard, victime de terribles cauchemars



Mercredi 11 octobre 2023, Amandine Pellissard était une nouvelle fois à l’hôpital pour rendre visite à sa fille Maéna. L’influenceuse a révélé en avoir plus qu’assez de multiplier les allers-retours entre son domicile et l’établissement hospitalier. Elle pousse un petit coup de gueule.

Amandine Pellissard a d’ores et déjà fait preuve de patience. Depuis le 6 juin dernier et la naissance de sa fille Maéna, née grande prématurée, Amandine Pellissard met sa vie entre parenthèses. Et si la jeune maman ne baisse pas les bras, c’est grâce au courage de sa “vaillante”, comme elle appelle sa fille. « À quel moment en tant que maman t’as le droit de t’écrouler ? Tu sais que ton bébé a besoin de toi. Ma fille a besoin d’une maman qui tient debout, pas qui est en train de s’écrouler. Ce que je vis depuis trois jours, ça vous change à tout jamais […] C’est clair qu’il y a un mois de ça, j’aurais dit ‘je ne tiendrai pas le coup, je m’écroulerai, je n’y arriverai pas’. Mais en fait, tu y arrives car tu vois ton bébé et que tu ne te poses pas la question. Elle est tellement courageuse, je suis tellement en admiration devant elle. Elle me donne envie de soulever des montagnes« , lâche-t-elle.

Mais ses enfants ont bien du mal à être aussi patients. Ils aimeraient en effet pouvoir voir leur sœur.  Malheureusement, pour des raisons évidentes d’hygiène, Amandine Pellissard doit choisir ses enfants un à un pour l’accompagner à l’hôpital. “Ça sera un peu mieux quand on sera en chambre toutes les deux. On pourra emmener les enfants deux par deux… Comme là, il y a plusieurs bébés dans une chambre ce n’est pas raisonnable par rapport à l’hygiène”, a expliqué Amandine Pellissard mercredi 11 octobre 2023, alors qu’elle se trouvait devant l’hôpital.

“Je ne peux plus me le blairer”

Et si Amandine Pellissard n’a pas flanché jusque-là, elle commence à en avoir assez de multiplier les visites à l’hôpital. “Hâte de voir mon petit bébé d’amour et hâte qu’on sorte de cet hosto car raz-le-bol ! Je ne peux plus le blairer cet hôpital, je ne peux plus le voir en peinture, je fais des cauchemars”, lâche celle qui espère dire “à jamais” à l’établissement hospitalier très prochainement. “Je ne peux plus me le blairer cet hosto je ne peux plus, je ne peux plus le voir, j’ai l’impression que ma vie depuis deux mois et demi est en suspens”, regrette-t-elle. Un calvaire bientôt fini, nous l’espérons !

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