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Lives Tiktok: des Camerounaises dansent nues pour des assoiffés de vidéos p0rno voici les détails

Les réseaux sociaux, sont devenus des nouvelles sources de revenu que beaucoup d’africains ont saisi. Les comptes monétisés des productrices de contenus sont dans le recherche de gains, des lieux de débauches notoires.

Le phénomène prend de l’ampleur au Cameroun, mais pas que. Plusieurs filles de plusieurs pays sont rentrés dans cette danse qui consiste à faire des vidéos en directe et dans ces vidéos, se mettre nues ou à moitié nues. Ces vidéos attirent de plus en plus de monde et permettent aux filles d’avoir de l’argent.

Ce qui se passe concrètement, c’st que ces filles, des camerounaises, des ougandaises, des tanzaniennes, pour ne citer que ces nationalités, créent des comptes TIKTOK monétisés et passent le temps en longueur de journée a danser nues ou en strings et reçoivent des cadeaux qui se transforment digitalement en argent. Il se dit qu’elles gagnent beaucoup beaucoup d’argent. Certaines peuvent aller jusqu’à gagner l’équivalent d’un 1 millions de FCFA par mois.

Manifestement, la débauche éthylique juvénile rivalise d’adresse avec la débauche sexuelle. Au plus fort de la dépravation des mœurs, les jeunes aiguisent davantage leurs pulsions libidinales.

C’est ainsi que l’on rencontre des jeunes filles âgées de moins de 14 ans enceintes dans les quartiers. Une situation à mettre dans le registre des grossesses non désirées, avec ce que cela comporte comme contaminations des maladies sexuellement transmissibles et le virus de l’immunodéficience humaine (Vih).

Dans les coins et recoins des quartiers, on rencontre des jeunes gens bras dessus bras dessous. Il y en a qui flirte avec des personnes ayant l’âge de leurs parents voire grands-parents. Une enquête faite auprès des boutiques établie que les jeunes sont les plus gros clients dans la vente des préservatifs. Ce qui vient une fois encore confirmer que les jeunes Camerounais sont des bêtes du s3xe.

Partisanes du moindre effort, elles sont nombreuses des jeunes filles qui se livrent au commerce du ****. Et les jeunes garçons ne sont pas en reste. C’est ainsi que beaucoup se livrent à des pratiques peu orthodoxes telles que la prostitution et bien d’autres condamnées par le Code pénal camerounais. Il y a des jeunes filles qui se livrent au tournage des films pornographiques. Pour avoir facilement de l’argent ou un emploi, ils sont nombreux ces jeunes qui se livrent à ciel ouvert à la pratique de l’homos3xualité.

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