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« Les huissiers nous ont tout pris » : Mika raconte son enfance marquante à Paris



Le chanteur Mika a pris la parole dans les colonnes du JDD ce 10 décembre 2023 pour raconter son enfance à Paris. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le garçon de l’époque a vécu des choses pour le moins compliquées, mais dont il parvient à toujours trouver le positif.

Il est aussi pop que ses musiques. Mika est en chanteur qui a réussi à conquérir le coeur des Français avec ses chansons colorées et son univers débordant de magie. Le succès prend très vite et ses chansons s’écoutent à travers le monde. Il parvient à rejoindre la scène de The Voice et devient l’un des coachs les plus emblématiques de l’émission avec ses conseils toujours très justes. Il a finalement décidé de prendre le large, mais revient en 2023 avec un nouvel album intitulé Que ta tête fleurisse toujours. « Je veux qu’on entre dans une ‘safe place’ colorée. Un endroit où l’on se sent en sécurité, dans une musique pop, une ambiance à la fois **** et pleine de candeur. J’ai voulu un album sans honte, assumé, joyeux et romantique », a-t-il expliqué à propos de son dernier projet. Dans cet album, Mika se livre personnellement et de manière très intime sur sa vie. Il rend hommage à Jane Birkin, à sa mère et se confie sur sa relation avec son compagnon Andy.

Une enfance douloureuse

Depuis la sortie de Que ta tête fleurisse toujours, Mika se livre assez régulièrement sur son enfance. Il a notamment évoqué le harcèlement subi à l’école. Si ses camarades pouvaient être difficiles, c’est sa professeure de français qui lui menait la vie dure. « Elle me punissait sur une chaise, je n’avais pas le droit d’aller aux toilettes, je faisais pipi sur ma chaise. J’avais 7 ans et demi », a-t-il confié.

Son enfance a donc été ternie par des traumatismes. Ce dimanche 10 décembre 2023, dans les colonnes du JDD, il dévoile sa vie à Paris lorsqu’il avait 9 ans. « Suite à un revers de fortune, nous avons dû quitter Paris […]. Nous avons abandonné le confort du 16e arrondissement pour une vie plus instable à Londres », commence-t-il par se remémorer. Il faut dire que les huissiers avaient frappé à la porte de sa famille. « À Paris, les huissiers nous avaient tout pris. Mais il nous restait un piano droit », explique-t-il. Un piano qui les a suivis à Londres et sur lequel il a « appris à jouer ».



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