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« Le sentiment qu’il me fait signe » : Paul Belmondo évoque les messages qu’il reçoit de Jean-Paul Belmondo



Mercredi 17 avril 2024, Paul Belmondo accordait une interview à Paris Match. Dans celle-ci, le fils du regretté Jean-Paul Belmondo a révélé qu’il avait, à plusieurs reprises, reçu des signaux de son père de l’au-delà.

C’est une disparition à laquelle les fans peinent à se faire. Le 6 septembre 2021, Jean-Paul Belmondo décédait à l’âge de 88 ans. Une annonce qui avait suscité une vive émotion. Et rapidement, les hommages avaient afflué sur les réseaux sociaux. Une magnifique cérémonie avait été organisée aux Invalides en compagnie de plusieurs personnalités politiques, du cinéma, mais aussi des badauds, venus dire un dernier au revoir à leur acteur préféré. Les regards s’étaient ensuite tournés vers sa famille, unie dans le deuil. Durant l’événement, un membre du clan Belmondo avait particulièrement brillé par son magnifique discours : son petit-fils Victor.

Quelques années plus tard, le 26 novembre 2023, dans un entretien accordé à Var-Matin, il se remémorait, non sans émotion, les souvenirs qu’il gardait de son père. « Mon père m’a transmis le goût du sport, de la compétition, des voitures, du risque. Mais il y a eu aussi le fait qu’il m’emmenait très jeune au Grand Prix de Monaco, et cela me faisait rêver. Ça faisait partie du quotidien avec lui. On avait l’habitude de le voir se suspendre dans les escaliers, à un balcon, mais on avait confiance, on savait qu’il était capable de le faire ».

Paul Belmondo : « Je crois à ces signes-là »

Un sujet que Paul Belmondo a une nouvelle fois évoqué ce mercredi 17 avril 2024 dans les colonnes de Paris Match. Et visiblement, il peut toujours compter sur le soutien de son père. D’après les dires de l’ancien pilote de 60 ans, il a reçu plusieurs signes de son père depuis sa mort. Le premier, le jour de son décès, l’ascenseur est tombé en panne : « Sur l’écran, parfois, j’ai le sentiment qu’il me fait signe. Quand il est mort, l’ascenseur est subitement tombé en panne. On a dû le descendre péniblement par l’escalier, comme s’il voulait rester parmi nous », explique-t-il dans un premier temps.

Mais ce n’est pas le seul signale que son père lui aurait envoyé. « Au crématorium : deuxième panne d’ascenseur. Le jour où l’on partait disperser ses cendres dans sa maison d’enfance à Piriac-sur-Mer, impossible de trouver un taxi. Il a fallu prendre le métro, avec lui dans mon sac, et passer par la station de métro Bir-Hakeim, celle de la légendaire scène de Peur sur la ville… Il voulait la refaire ? Je crois à ces signes-là. » Des confidences troublantes.



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