à la uneCultureInternational

le président était-il vraiment avec Claudia Cardinale la nuit où Diana est morte ?


À propos de Jacques Chirac, dans le livre d’entretien avec Patrick de Cariolis, Conversation, Bernadette Chirac « a laissé entendre qu’il était relativement volage et que comme on le disait, c’était un bon vivant. Il n’y avait aucun secteur de l’existence qui lui échappait. », a partagé Nathalie Saint-Cricq, d’après les éléments rapportés par franceinfo. Alors que l’infidélité de l’ancien président de la République fait jaser depuis de nombreuses années, certains commentateurs lui ont notamment prêté une liaison avec Claudia Cardinale. Une rumeur que l’actrice italienne continue de repousser avec véhémence.

Le 31 août 1997, une date tristement célèbre marquée par la tragique disparition de Diana Spencer, a également donné naissance à une rumeur d’adultère. Alors que les services diplomatiques français étaient en ébullition suite à l’accident de la route dans lequel la princesse de Galles a été gravement blessée à Paris, le président de la République était mystérieusement introuvable pendant de longues heures. Ni à l’Élysée, ni aux côtés de son épouse, personne n’a pu mettre la main sur Jacques Chirac.

Une liaison secrète entre Jacques Chirac et Claudia Cardinale ?

C’est alors que les murmures se sont intensifiés, laissant entendre que le chef de l’État passait du temps en compagnie de Claudia Cardinale, avec laquelle on lui prêtait une liaison secrète. Ce ne serait que lorsqu’il a enfin quitté la résidence de la star du cinéma qu’il aurait été informé de la situation par son chauffeur, d’après les éléments rapportés par Télé 2 Semaines. « Chirac était très gêné à cause de cette rumeur », a souligné la principale intéressée dans les colonnes du quotidien italien Corriere della sera, le 21 janvier dernier.

Deux décennies se sont écoulées, et pourtant, la comédienne, aujourd’hui âgée de 85 ans, persiste à rejeter catégoriquement cette relation qui leur a été prêtée. « Rendez-vous compte : j’ai dit non à [Marlon] Brando, à [Alain] Delon, à Marcello [Mastroianni]… [Jacques] Chirac était peut-être un ‘homme à femmes’, mais pas avec moi. », s’est-elle défendue. Plus récemment, une voix inattendue est venue secouer les fondations de ces propos et allégations.

Un nouveau témoignage sur la nuit de l’accident de Diana

André Demullet, chauffeur et homme à tout faire de Jacques Chirac de 1977 à 1996, a pris la parole sur ce sujet au cours d’une interview accordée à Gala. « C’est faux ! », a clamé l’auteur du livre En route avec le patron (2020, Plon). Celui qui est surnommé « Mad Max » réfute catégoriquement cette allégation tout en égratignant son ancien collègue, Jean-Claude Laumond, l’autre chauffeur de Jacques Chirac, qui avait été pointé du doigt comme l’instigateur de ces rumeurs.

Ce serait ce dernier qui aurait averti le président du tragique accident à trois heures du matin, au moment où il quittait l’immeuble de Claudia Cardinale. « Jean-Claude a raconté pas mal de conneries », a déploré André Demullet. Avant d’ajouter : « Les chauffeurs ne sont pas là pour tenir la chandelle et il n’était pas au lit avec eux ». Certains commentateurs ont pointé du doigt des rapports conflictuels entre le chauffeur et Bernadette Chirac.

À lire également :

« Il n’était pas au lit avec eux »

Leur conflit a atteint son paroxysme en novembre 1997, lorsque celle-ci a finalement mis fin à leur collaboration en l’envoyant en exil à Nouméa. Nombre de questions avait alors surgi : cet homme aurait-il propagé cette histoire pour assouvir sa vengeance ou détenait-il des secrets compromettants ? À noter que André Demullet n’est pas le seul à remettre en question cette rumeur. Dernièrement, La Tribune Dimanche a relayé la version de Claude Chirac.

La fille du président a affirmé que son père se trouvait tout simplement au Château au moment de l’accident. Selon ses dires, Christine Albanel, qui était de permanence à l’Élysée cette nuit-là, n’a pas osé le réveiller avant cinq heures du matin. Sans oublier que Claudia Cardinale a elle-même démenti les faits en janvier dernier : « Mais non ! Ce n’est absolument pas vrai. J’avais soutenu sa campagne électorale, car, à ce moment-là, il me semblait être le président le plus juste, et c’est ainsi que la presse en a fait toute une histoire. », a-t-elle répliqué.





Source link

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp