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L’amour est dans le pré : Manuela, agricultrice de la saison 2024, révèle un critère physique important pour elle



Les premiers portraits des agriculteurs participants à la nouvelle saison de L’amour est dans le pré seront diffusés le 8 janvier prochain. Nos confrères de Télé-Loisirs dévoilent en avance un détail physique qui pourrait faire tiquer Manuela.

Alors que la dernière édition de L’amour est dans le pré n’a pas vraiment été couronnée de succès en matière d’amour, l’émission est prête à reprendre du service. Pour cette édition 2024, les téléspectateurs découvriront les portraits et les parcours amoureux de 15 agriculteurs âgés de 26 à 69 ans. Dès le 8 janvier 2024, les fidèles de l’émission auront le plaisir d’observer les premiers portraits de ces nouveaux agriculteurs. Comme chaque année, Karine Le Marchand sera au rendez-vous pour essayer de les comprendre et les aider à trouver l’amour.

Parmi ces derniers, Manuela est éleveuse de poules d’ornement et de races anciennes, en Indre-et-Loire. C’est après une carrière de plus de vingt ans dans le notariat qu’elle a décidé de réorienter sa carrière dans l’agriculture. Et ce revirement ne s’est pas amorcé tout seul ! C’est le père d’une amie qui lui a offert un livre sur les poules qui a créé en elle le déclic. Désormais, elle n’élève que des poules issues de 25 races protégées.

Un grand classique

Côté coeur, Manuela s’estime « indraguable« . Un qualificatif qui trahit son manque de confiance en elle. L’éleveuse cherche un homme « gentil, souriant, aimant, bienveillant » et surtout situé entre 48 ans et 58 ans : « Après plusieurs déceptions, il est peut-être temps de se calmer sur les écarts d’âge ».

Quant aux critères physiques, Manuela a une exigence et pas des moindres, comme l’ont dévoilé en avance nos confrères de Télé-Loisirs ! Chaque année, les agricultrices sont nombreuses à revenir sur le point capillaire. Manuela n’échappe pas à la tradition. Elle veut un homme « avec des cheveux » : « J’ai du mal avec les boules à Z« . Habituée à cette requête, Karine Le Marchand a tenu à luire remarquer : « À 60 ans, ça commence à être rare. Ils ont le droit d’écrire s’ils ont perdu leurs cheveux ? Parce que c’est plus de 40% des hommes« . Il faudra attendre encore un peu pour attendre la réponse de Manuela qui a l’air de savoir ce qu’elle veut !



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