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« Je rentrais chez moi seul » : Laurent Delahousse se livre sur le confinement passé loin de sa famille (ZAPTV)



Vendredi 12 janvier, Anne-Elisabeth Lemoine recevait les présentateurs des JT de France 2 dans C à vous. pour évoquer leurs souvenirs d’info. Laurent Delahousse est notamment revenu sur le premier confinement du Covid-19, passé seul loin de sa famille, notamment son tout jeune fils.

Ils sont quatre pour présenter 14 éditions du journal national par semaine : Anne-Sophie Lapix, Julian Bugier, Leïla Kaddour et Laurent Delahousse sont les grands visages de l’information sur France 2 depuis tout juste trois ans et l’arrivée du journaliste à la tête du 13H semaine. Des patrons de l’info qui ont d’ailleurs eu droit à un beau cadeau l’été dernier avec la refonte complète de leur plateau, pour une version plus moderne qui aurait coûté plusieurs millions d’euros à France Télévisions. Un rôle qui leur a notamment offert un regard très particulier sur l’un des plus grands événements de l’actualité des dernières années : la pandémie de Covid-19, plus précisément le premier confinement de mars 2020. Un moment de doute, de peur, d’incompréhension, qu’ils auront eu pour mission de commenter et analyser pour les téléspectateurs. Parfois au détriment de leur vie personnelle.

« J’étais dans une ville vide »

C’est notamment le cas de Laurent Delahousse, qui est revenu sur ce moment appartenant selon lui à « la quatrième dimension« . Et pour cause : le présentateur du 20h weekend est livré à lui-même dans une capitale vidée de ses habitants, où il déambule en scooter pour « livrer » les dernières informations aux Français : « J’étais dans une ville vide, je prenais mon scooter j’arrivais dans un bâtiment qui fourmille de gens (…) et je comprenais l’attente des Français avec une information qu’on ne maîtrisait pas, c’était très particulier » commence-t-il. Une situation d’autant plus difficile pour le compagnon d’Alice Taglioni qu’ils venaient juste d’accueillir leur plus jeune fils, Lino : « Une vraie solitude, je venais d’avoir mon fils, ma famille était partie à la campagne, je rentrais chez moi seul, je reprenais le scooter après le journal dans un Paris toujours vide » ajoute-t-il. Nul doute que les retrouvailles étaient pour le moins émouvantes lorsqu’il pouvait enfin reprendre son fils dans ses bras.



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