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« Je ne pouvais plus… » : Lorie Pester explique pourquoi elle a renoncé à avoir un deuxième enfant



Comblée de bonheur avec son adorable fillette Nina, Lorie Pester a longtemps cru ne jamais connaître le bonheur de la maternité. La faute à l’endométriose, un fléau qui l’a contrainte à subir une ablation chirurgicale de l’utérus et donc renoncer à avoir un deuxième enfant.

C’est une décision que Lorie Pester n’a pas prise toute seule. Atteinte d’endométriose, un mal qui touche 10% des femmes en âge de procréer, la chanteuse et comédienne a dû se tourner vers la PMA pour concrétiser son rêve de devenir maman. L’adorable Nina a pointé le bout de son nez, le 11 septembre 2020, après une grossesse des plus compliquées. Et les douleurs se sont intensifiées après l’accouchement, de quoi contraindre l’ex-compagne de Billy Crawford à subir une hystérectomie, soit une ablation chirurgicale de l’utérus. « Ça a été très dur à prendre comme décision, on en a beaucoup parlé avec mon compagnon. C’est une décision qui se prend en couple. Le problème, c’est que c’est irréversible. Je sais que je ne pourrai plus jamais avoir d’enfant », expliquait-elle sur le plateau du Buzz TV.

« Je ne me voyais pas repartir avec des piqûres d’hormones »

Dans un entretien au long cours accordé au podcast InPower, l’actrice de Demain nous appartient a rembobiné les échanges précédant cette lourde résolution. « Mon compagnon m’a dit que ce n’était plus possible, donc on a longtemps parlé pour savoir si on voulait un autre enfant. Yann [Dernaucourt, ndlr] avait déjà un petit garçon qui a 12 ans, donc à la maison on a un garçon et une fille, c’est cool, c’est déjà bien. On a quand même des métiers où on bouge un peu dans tous les sens. Et moi, je ne me voyais pas repartir avec des piqûres d’hormones, une nouvelle FIV, franchement c’est épuisant », a-t-elle confié à Louise Aubery. Avant de révéler qu’elle souffrait également d’adénomyose, « une cousine de l’endométriose ». « C’était une décision pas facile parce que même quand on en parle avec son compagnon, qu’on est sûre de soi, sur la table d’opération (…) j’étais encore en train de pleurer. C’est irréversible », a conclu celle qui revit depuis cette ablation.



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