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« J’ai continué à souffrir » : Marina Carrère d’Encausse revient sur ce grave accident qui a changé sa vie



Marina Carrère d’Encausse, la présentatrice du Magazine de la santé, s’est livrée dans les colonnes de France Dimanche. Elle est revenue sur son très grave accident de voiture survenu quand elle avait 24 ans.

Pendant plus de 25 ans, le Magazine de la Santé a fait les beaux jours de France 5. Incarné par Marina Carrère d’Encausse, longtemps en duo avec Michel Cymes, il s’arrêtera avant l’été 2024, malgré ses bonnes audiences. Une fin qu’avait commentée la présentatrice le 24 mars dernier dans Vivement dimanche. « Je n’y crois pas non plus, pourtant, c’est la réalité« , avait-elle déclaré avant de donner la date de l’ultime épisode : « Le 31 mai, nous arrêtons l’émission après 26 ans de bons et loyaux services« .

Parallèlement à cette activité, celle qui a récemment perdu ses deux parents se bat pour le droit à mourir dans la dignité. Il faut dire qu’elle a, elle-même, frôlé la mort lorsqu’elle avait 24 ans. En effet, un dimanche de l’année 1985, son père a percuté un arbre en voiture à la vitesse de 130 km/h. Marina Carrère d’Encausse, qui se trouvait côté passager, s’est retrouvée dans un état physique épouvantable qui l’a fait souffrir pendant plusieurs années.

Un accident qui a changé sa façon « d’apprécier l’existence »

« Le radiateur de la voiture a explosé dans mon pied« , a confié l’échographiste dans les colonnes de France Dimanche. « Blessée à plein d’endroits différents, j’ai continué à souffrir. D’abord parce que j’avais des brûlures sévères. Et puis parce que j’avais d’autres problèmes« , a-t-elle indiqué. Malgré ses années d’intenses souffrances, la jeune femme a tout fait pour réaliser ses rêves et s’est consacrée à ses études de médecine.

Avec le recul, elle prend cet accident avec philosophie. « Honnêtement, je ne regrette pas. Parce que je pense que ça m’a permis d’apprécier l’existence de manière plus intense. Chaque jour est un jour de plus. Et du coup, en plus, ça rend plus humaine, je crois. Moi, en tout cas, ça m’a rendue un médecin plus humain« , a-t-elle expliqué. Une humanité qui s’est aussi ressentie dans Le Magazine de la santé.



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