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Fort aux fesses : le secret le plus protégé des bamilékés a fuité

Les Bamiléké constituent une grande partie du pays. Le peuple a ses spécificités ou des pratiques qui lui sont propres. Certaines habitudes ne changent pas, elles ont la peau dure, peu importe le temps qui passe ou la mondialisation qui devient davantage forte.

Les homme Bamiléké ont un goût prononcé pour une catégorie de femmes que se met à préciser un activiste dont les propos suivent : « Ce qui me plaît même c’est que mes frères Bam’s sont et seront toujours à la recherche du gésier des femmes Fangs car ils aiment manger ça jusqu’à on dirait c’est le meilleur nectar du monde ».

Jorel Zang continue en disant que « mes sœurs Fangs vont toujours sortir avec les gars Bam’s car ils sont parmi les « forts aux fesses » du Cameroun et de bons maris. Donc vous aurez beau essayer ce que vous essayez en vain depuis sur les réseaux sociaux en alimentant les tensions entre communautés pour pousser les gens à se détester, ça n’aboutira à rien car ces deux (02) peuples solidement unis le seront toujours et ça ne chauffe pas ».

« En revanche, le revers de la médaille, c’est que vous serez les premières victimes de votre propre discours tribal sur les réseaux sociaux. Car ce que vous ne savez pas c’est que vos proches directs ou indirects vous lisent et souvent en faux profils et si demain le Cameroun prend feu (ce que je ne souhaite évidemment pas), un de vos proches qui vous lisait en secret et se radicalisait par rapport à votre discours, va profiter de la guerre pour vous RIP et dire que vous étiez un bandit ou je ne sais quoi », concède la source.

Le lanceur d’alerte insiste sur ce sujet d’actualité. Dernièrement quand il a été révélé que le footballeur international Martin Hongla a dit que chez eux, ils n’épousent pas les femmes Bamiléké, Zang a pris sa défense.

En disant : « Un moment, il faut qu’on arrête l’hypocrisie au Cameroun. Qu’est-ce que Martin Hongla a dit de « nouveau » que beaucoup de Camerounais ne disent ou ne font dans leurs familles concernant les mariages ? ».

Il se rappelle qu’il y a quelques jours ici même, « j’ai publié le cas d’une dame qui avait besoin d’un avocat bénévole pour l’assister juridiquement car son mari et sa belle-famille voulaient se débarrasser d’elle car n’étant pas du même village que son mari pourtant elle comme son mari sont tous de l’Ouest Cameroun mais la famille du mari ne voulait pas d’elle car n’étant pas du même village qu’eux ».

« C’est vous-mêmes dans les commentaires qui m’avez assez édifié sur le sujet en me disant que c’est une réalité que certains villages refusent les mariages avec d’autres villages pourtant tous de l’Ouest Cameroun », précise-t-il très remonté.

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