à la uneCamerounSociété

Douala et Yaoundé: Decouvrez pourquoi 346187 femmes célibataires ont refusé de travailler, mais vivent très bien

• De plus en plus de femmes célibataires ne travaillent pas

• A Douala et à Yaoundé, elles représentent 13% de la population active

• Résultats d’une étude de la Banque mondiale

« Conte de deux pays : le marché du travail des jeunes des zones urbaines et rurales au Cameroun », étude de la Banque mondiale dont les résultats ont été récemment publiés, permet de se rendre dompte que 13% des femmes célibataires ayant tout de même des qualifications professionnelles recherchées sur le marché de travail ont choisi de ne pas travailler.

Le rapport de la Banque mondiale dresse un tableau de statistiques des « Femmes célibataires bien éduquées et volontairement inactives » dans les villes de Yaoundé et Douala.

« Dans ces deux plus grands centres urbains du Cameroun, on en dénombre 346 187 qui représentent 13 % d’une population évaluée à environ 69 %, soit 37 % à Yaoundé et 31 % à Douala. Dans cette population féminine, 40 % sont âgées de 25 à 29 ans et 60 % sont « essentiellement célibataires ». 75 % de ces femmes sont diplômées de l’enseignement secondaire et/ou supérieur, 50 % ont une formation professionnelle ou ont suivi un apprentissage ; et 50 % sont sans aucune expérience professionnelle », apprend la rédaction de infoscameroon de ce rapport de la Banque.

À noter par ailleurs que 5 % de cette population féminine est classée ‘pauvre’, tandis que 65 % d’entre elles sont sans épargne.

Le rapport de la Banque mondiale analyse également les « Femmes mariées, pauvres et peu qualifiées, involontairement inactives », les « Femmes célibataires bien éduquées qui sont au chômage », ou encore les « Hommes âgés et instruits qui travaillent dans le secteur informel ».

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp