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des détails sur leur sexualité débordante dévoilée par un expert, et c’est à peine croyable


Les punaises de lit semblent avoir envahi l’Hexagone. Elles se répandent dans les foyers français et rien ne paraît pouvoir les arrêter. Un expert a révélé des détails pour le moins surprenants sur la vie sexuelle de ces parasites.

Malgré sa petite taille, l’insecte fait parler de lui depuis plusieurs mois. À tel point que les punaises de lit sont devenues un enjeu de santé publique. Le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, a affirmé récemment qu’il n’y a « pas de panique générale«  à avoir face à ce qui est considéré par beaucoup comme un fléau.

Cet expert a dévoilé la « sexualité délirante des punaises de lit »

Il faut dire que les punaises de lit ont été repérées dans un foyer sur dix d’après un rapport de l’Anses paru en juillet. Et depuis, elles ont même été signalées dans les cinémas et les trains. Et le problème, c’est qu’il est loin d’être facile de se débarrasser de cet insecte qui se nourrit du sang de son hôte.

Cet hématophage se reproduit vite. La femelle peut pondre jusqu’à cinq œufs par jour et cela explique leur prolifération rapide. Mais un scientifique a par ailleurs fait des révélations inattendues sur la sexualité des punaises de lit.

« Elles ont 200 rapports par jour »

Il y a 30 ans, l’écrivain Bernard Weber a publié l’Encyclopédie des savoirs relatifs et absolus. Invité sur RTL, il est revenu sur certains faits qu’il avait abordés dans son ouvrage. Et il en a dit plus sur la « sexualité délirante des punaises de lit » comme il l’a écrit en 1993.

« Les punaises de lit ont un pénis perforateur, elles sont myopes et n’arrêtent pas de faire l’amour. Elles ont 200 rapports par jour. », a commencé par expliquer le romancier. Avant d’ajouter : « Elles ont du mal à sélectionner leurs partenaires. Il y a environ 40 % de rapports hétérosexuels, 30 % homosexuels et 30 % avec d’autres insectes. »

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Certains détails sont surprenants

Les détails révélés par Bernard Weber ont de quoi surprendre. Il semble que l’insecte soit pris d’une véritable frénésie. « Ils percent la carapace des femelles, des mâles et des insectes pour injecter le sperme dans le sang. Cela ressemble à une sorte d’obsession sexuelle. », a précisé l’écrivain. Avant d’ajouter : « Une partie de son sperme survit dans le sang et féconde la femelle de l’intérieur. »

Celui qui est connu pour son livre Les fourmis paru en 1991 a décrit des particularités étonnantes. « Les mâles percent n’importe où, si bien que les punaises de lit ont commencé à naître avec des vagins secondaires reliés au principal (pour les femelles), inutiles pour les mâles. Et ça ne s’arrête pas là : une espèce que l’on trouve dans les pays chauds parvient à féconder, grâce à un jet très dru, à tirer pour féconder ces vagins secondaires à distance ». Pas sûr que ces détails soient de nature à rassurer ceux qui font face à une infestation du parasite.





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