à la uneCultureInternational

ces points communs flagrants avec l’affaire du petit Grégory, “Derrière les masques de douleur…”


Cette affaire de disparition est l’une des plus mystérieuses de ces dernières années. Depuis plus de 7 mois, les enquêteurs tentent de retrouver la trace du petit Emile, disparu le 8 juillet 2023 dans le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence). En vain. Toutefois, cette sombre affaire de disparition n’est pas sans rappeler à certains, le cold case sur le meurtre du petit Grégory. 

Les enquêteurs de la section de recherches de Marseille poursuivent leurs investigations. Malgré les mois qui passent et le manque de suspect principal en perspective, ils continuent de collecter un maximum d’éléments pour les aider à retrouver le petit Emile. Pour ce faire, les autorités peuvent compter sur une aide plus que précieuse dans ce genre d’affaire.

Disparition d’Emile dans les Alpes-de-Haute-Provence : cette similitude avec l’affaire Grégory dans le mode opératoire des gendarmes

Après l’ouverture d’une information judiciaire pour “enlèvement et séquestration”, les gendarmes ont récolté de très nombreuses informations. Des données qu’ils ont concentrées dans l’Anacrim. Il s’agit d’un logiciel informatique qui permet de rassembler tous les éléments d’un dossier, d’analyser, de vérifier et de recouper toutes les données récoltées pendant l’enquête. 

Le logiciel Anacrim est également connu pour avoir été utilisé (et l’être toujours) dans l’affaire Grégory Villemin. En effet, depuis 40 ans, chaque message envoyé par le corbeau, chaque élément, chaque audition, a été centralisé pour aider au mieux les enquêteurs a trouvé le coupable. Si ce programme informatique n’a pas encore désigné avec exactitude le suspect principal dans le meurtre du petit Grégory, tout pourrait basculer dans l’affaire du petit Emile. 

le caractère de son grand-père maternel, chez qui il était le 8 juillet dernier, a été pointé du doigt. Récemment encore, les enquêteurs ont posé de nombreuses questions sur la famille du garçonnet. 

Pour rappel, les proches d’Emile n’ont jamais fait l’objet d’une mise en examen ou d’une garde à vue, mais une aura étrange semble peser sur eux. Un aspect de l’enquête qui n’est pas sans rappeler l’affaire du petit Grégory Villemin. Dans les colonnes de La Dépêche, Mr George Catala, qui suit les parents de Marion Wagon, disparue il y a 27 ans à Agen, a fait un rapprochement effroyable entre les deux affaires. 

À lire également : 

Emile bientôt retrouvé ? Cet ADN au cœur de l’enquête sur la disparition du petit garçon

“(Les enquêteurs) se sont sûrement intéressés au premier cercle pour voir si derrière des masques de douleur ne se cachent pas des gens qui ricanent comme dans l’affaire du petit Grégory”, assène l’avocat. Puis d’ajouter que les autorités, “qui connaissent leur métier, et apprennent, du moins je l’espère, de leurs erreurs passées, ne vont pas oublier l’ADN”. 

Pour l’heure, aucune piste n’est écartée par les gendarmes de Marseille et plusieurs théories demeurent : celle de l’accident de la route, celle d’une chute accidentelle, mais aussi celle de la famille et enfin celle d’un enlèvement par une tierce personne. Aucune mise en examen, ni aucune garde à vue n’ont également été appliquées dans l’enquête sur la disparition d’Emile.





Source link

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

RSS
Follow by Email
YouTube
Pinterest
LinkedIn
Share
WhatsApp