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Bonabéri : des agents de police poussent un bensikineur et sa cliente sous les pneus d’un camion voici les détails

C’est un nouveau drame qui fait beaucoup parler les citoyens depuis quelques heures maintenant. Les éléments habillés et payés avec l’argent des contribuables n’arrêtent pas manifestement de s’adonner à des pratiques meurtrières sur les routes. Ils ont à nouveau causé la mort à des individus qui passaient leur chemin.

Le lanceur d’alertes informe que le drame s’est produit à Bonabéri dans la ville de Douala : « Des agents de la police municipale provoquent la mort d’un chauffeur de moto et sa passagère, écrasés par un camion ».

Il apprend à tous que « des racketteurs de la police municipale harcelant un bensikineur ont été à l’origine d’une scène d’horreur il y a quelques instants. Un camion en vitesse a violemment percuté l’engin et les deux occupants, les tuant sur-le-champ. Les racketteurs de la mairie ont pris la fuite de peur qu’ils soient lynchés par la population ».

La colère populaire monte, comme on peut le constater dans les commentaires sur la toile : « Ce pays est devenu une curiosité planétaire. La mort est devenue est une chose banale. Ça n’émeut presque plus personne. Je n’ai jamais compris comment on fait pour soutenir ce régime du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC). C’est difficile à comprendre ».

« Je ne sais même pas qui embauche ses drogués. La mairie doit répondre parce que ce n’est pas la première fois. Eh Dieu ».

« Voilà c’est arrivé, moi-même j’ai failli être victime d’un accident à cause de ses agents heureusement que le motoman était très solide, c’est qu’on faisait l’accident. Les gars poursuivent le motoman jusqu’à se placer devant la moto. Mince ! RIP pour ces deux (02) personnes ».

« C’est les impôts de quoi tous les jours. Ce qui est mauvais est que ce sont les mêmes bensikineurs qui sont en route pour impôts au lieu de se contenter de leur petit boulot. Je vous rappelle que je vous ai à l’œil, je vais calculer un soit disant gars de la mairie, lui planter le couteau dans la gorge et ça sort comme ça sort. Ce n’est pas la première fois, j’ai perdu un grand ami dans les mêmes circonstances ».

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