voici la maison qu’il a fait construire sur sa terre natale de La Réunion

Les fans de Gérald De Palmas en rêvaient encore, de son grand retour sous les feux des projecteurs. Les inconditionnels de l’artiste ont bien fait de patienter, car ils s’apprêtent en novembre à assister au chant du cygne de la carrière du chanteur.

C’est officiel, l’album que Gérald De Palmas sortira dans les prochaines semaines sera son dernier. « Malheureusement, un problème de voix récurrent m’empêche d’avoir une voix constante. Pour l’enregistrement, ce n’est pas gênant, en revanche, pour les concerts et la promo, c’est assez invivable et je me vois contraint d’arrêter, en tout cas sous cette forme, ma carrière », a-t-il expliqué sur les réseaux sociaux.

Gérald De Palmas met un terme à sa carrière

Le chanteur, qui a connu le succès dès 1994 avec Sur la route, titre extrait de son premier album, La Dernière Année, a néanmoins précisé : « Je ne m’empêche pas de travailler pour d’autres ou d’enregistrer un truc de temps en temps ». Avant d’ajouter :  « J’ai eu une chouette carrière ».

En août dernier, celui qui a écrit Marie pour son ami Johnny Hallyday déclarait dans un entretien accordé au Parisien avoir choisi, il y a sept ans de ça, de retourner vivre sur sa terre natale : l’île de La Réunion. L’homme parti enregistrer en Normandie disait alors avoir eu besoin de déconnecter un temps. Pour ça, un retour au pays a manifestement été nécessaire. « Au bout de trois semaines, je n’étais pas content du résultat, et j’ai arrêté. Je suis reparti à la Réunion et là, j’ai vraiment posé et rangé ma guitare. J’étais un peu dégoûté d’avoir bossé pour rien, mais j’ai commencé à travailler ma voix, sans but précis », a-t-il confié.

Le retour aux sources sur l’île de La Réunion

Lorsque envie de revenir aux sources il y a, c’est à Saint-Gilles-les-Bain que Gérald De Palmas retourne. Là-bas, sur la côte ouest de l’île, il a fait construire la maison de ses rêves, un sanctuaire au bord du lagon, entre mer et falaises.

« J’ai fait les plans de cette maison, je l’ai fait construire, mais si dans deux ans, je dois partir, je la revendrai sans états d’âme », a-t-il affirmé au quotidien. Si la maison est sobre, sa situation, elle, laisse rêveur.

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Principal atout que le quinquagénaire pourra faire valoir s’il décide un jour de la mettre sur le marché : une piscine qui se jette dans le lagon. Sinon, le musicien ne manifeste pas le désir de vivre dans l’opulence. Ses deux guitares acoustiques de 1919 et 1926 suffisent amplement à faire de lui un homme heureux.

Du reste, Gérald De Palmas a conservé un port d’attache en métropole. Son deuxième chez-lui se trouve au cœur du Pays d’Auge, en Normandie. « Cela fait plus de vingt ans que je viens ici. Mon ex-femme y passait toutes ses vacances, avec un vrai attachement au coin. Du coup, on y est revenu naturellement quand on a eu des enfants. J’ai fini par adorer la région », a-t-il cette fois-ci pu livrer dans les colonnes du Ouest-France.