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Une attente fébrile à Nice et en Côte d’Ivoire


L’attaquant ivoirien de Nice Jérémy Boga est l’un des meilleurs joueurs du Championnat de Ligue 1.

Mais on attend davantage de celui qui a insufflé tant d’espoir par ses dribbles et ses arabesques, tant en club qu’en équipe nationale.

C’est un éléphant qui sait dribbler et faisait partie des joueurs niçois à surveiller ce week-end lors du match entre Nantes et Nice (0-1) au stade Beaujoir les 2 et 3 décembre

Ce nom a occupé toute la semaine l’arrière nantais Marcus Coco en tête.
Je suis donc resté concentré et j’ai travaillé dur.

Au contraire, car dès les premières secondes c’est un éléphant qui tourne en rond qui s’est rendu compte de son talent et s’est présenté face aux Canaries.

Au contraire, car dès les premières secondes c'est un éléphant qui tourne en rond qui s'est rendu compte de son talent et s'est présenté face aux Canaries.

« Ma qualité réside dans mon dribble qui élimine l’adversaire direct.
C’est quelque chose que j’ai beaucoup travaillé et je pense que c’est ce qui fait ma force.

 » Jeremy Boga en Ligue 1 Un des meilleurs dribbleurs.

il a été rappelé à plusieurs reprises avec ses crochets dévastateurs, il a été très apprécié à Nantes ce week-end.

L’ailier a été recruté cet été par l’Atalanta Bergame pour 18 millions d’euros.
comprend sur quoi ils doivent travailler : Je peux être meilleur et plus décisif.
Ce serait encore mieux s’il pouvait marquer un but grâce au dribble.

Jusqu’à présent, son bilan s’élève à 2 buts et 1 passe décisivhttps://www.afriquesports.net/football/officiel-jeremie-boga-quitte-latalanta-et-fait-son-retour-en-ligue-1e en 12 matchs.
Cela reflète le secteur offensif niçois.

C’est prometteur, notamment Boga, Therem Moffi et Gaetan Laborde, mais ils ne sont pas très productifs avec seulement 14 buts en 14 matchs.
« Nous sommes encore un peu mécontents.

C'est prometteur, notamment Boga, Therem Moffi et Gaetan Laborde, mais ils ne sont pas très productifs avec seulement 14 buts en 14 matchs.

« Nous aimerions lui remettre les clés de Boga, mais pour l’instant il ne les a pas reçues », raconte le journaliste Maxime Bacchier.
Radio « France Bleu Azur ».

Pour le moment, les attentes concernant le montant de son transfert ne sont pas forcément élevées.

Par rapport à son profil de dribbleur, il avait besoin d’animer le côté gauche, mais il manque trop de matchs en ce moment.

On se retrouve avec une certaine insatisfaction face à ces premiers jeux.
Nous pensons qu’il a le potentiel pour être meilleur, mais il a parfois du mal à se coordonner avec les joueurs qui l’entourent.

» Mais cela n’a pas empêché Jérémy Boga de disputer huit matches consécutifs sous le maillot nantais.

L’entraîneur Francesco Faglioli a confiance en lui.

Je dois dire que les deux se connaissent très bien.

Le technicien italien était l’entraîneur des gardiens de Sassuolo lorsque l’ailier ivoirien a rejoint le club après plusieurs périodes de prêt.

Boga est en Italie depuis six saisons et est très heureux.

« Cela m’a surtout aidé à gagner en maturité dans mon jeu.

Je fais beaucoup de travail tactique là-bas, donc je pense que c’était une bonne base pour moi.

 » On pourrait dire que j’étais un peu plus jeune quand je suis arrivé là-bas.
Je savais comment grandir et je savais comment avoir un coach pour m’aider à grandir.

Et aujourd’hui, je sens que je dois un peu d’argent à l’Italie pour être le joueur que je suis aujourd’hui.

Et aujourd’hui, je sens que je dois un peu d’argent à l’Italie pour être le joueur que je suis aujourd’hui.

Un joueur qui s’apprête à disputer la Coupe d’Afrique des Nations à domicile.
Le joueur, qui a été sélectionné pour la première fois avec les Éléphants en juin 2017 mais qui n’a pas encore fait ses preuves en équipe nationale, avoue : « Cela me vient à l’esprit.

 » Le joker extravagant Jérémy Boga, qui n’a disputé qu’un seul match lors de la dernière CAN, n’a inscrit qu’un seul but en sélection.

Aujourd’hui, avec Jonathan Bamba, Oumar Diakité, Max-Alan Gradel ou encore Wilfried Zaha, se faire une place dans les ailes de l’éléphant n’est pas chose aisée.

« C’est vrai que la concurrence est rude et qu’il y a beaucoup de bons joueurs sur l’aile.

Nous devons d’abord réussir au club, puis au niveau local et rivaliser pendant des minutes.

Mais oui, je pense que nous sommes un très bon groupe et je pense que nous pouvons faire de bonnes choses », a-t-il déclaré.



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