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un jeune de 15 ans victime de ce jeu dangereux, physique et violent à Cahors


l’essentiel
Le jeu de la virgule : non, ce n’est pas un passe-temps créatif, ni même récréatif pratiqué dans les cours de récréation. Il s’agit plutôt d’un jeu dangereux, physique et violent, auquel Xavier Papillon, directeur des services de l’Éducation nationale du Lot, veut mettre un terme. Il a reçu un rapport sérieux. Une famille inquiète prend également la parole pour signaler la fin d’une récréation à haut risque et surtout la fin de ce jeu absurde. Explications.

La peur s’empare de la toile où, sur les réseaux sociaux, des familles alertent les pouvoirs publics sur une nouvelle pratique qui pourrait être plus dramatique qu’amusante dans les cours de récréation des lycées notamment.

Le jeu dit de la « Virgule » doit en effet inquiéter et susciter des interrogations sur ses conséquences physiques et physiologiques puisque la procédure décrite est assez violente.

« Il existe un risque réel de blessures graves au cou »

» Ce phénomène prend de l’ampleur et apparaît dans la cour pendant la pause déjeuner. Le concept : tordre le cou ou donner à quelqu’un un coup sec sur la nuque, par surprise et par derrière, en deux temps dans des directions opposées. Le geste doit générer une torsion du cou par rotation du crâne. Il y a un risque réel de blessures graves aux cervicales » témoigne le père d’un élève à l’origine de cette description qui donne des frissons dans le dos. dos.

« Les directeurs d’école pourraient demander aux enseignants de parler aux élèves de chaque classe. Il s’agit de leur rappeler la dangerosité de tels agissements et de les avertir que de sévères sanctions seront prises. Pour ce faire sans tarder. Ceux qui continuent doivent être punis », suggère une mère, Bridget Moreen.

Un adolescent cadurcien en a parlé à ses parents

La mère d’un autre élève ajoute une nuance : « C’est principalement aux parents d’expliquer cela à leurs enfants, même s’il faut le ressasser tous les jours pendant un moment. »

Un adolescent de 15 ans a été confronté à cette expérience à Cahors et s’est confié à ses parents qui l’ont prévenu. « Mon fils n’était pas une victime, mais il a vu cela se produire. Maintenant, il surveille ses arrières. Je suis consterné ! La cour de récréation doit être un lieu de détente, pas de peur ou de danger », s’alarme la mère de ce lycéen.

Bridget Moreen pose alors la question des responsabilités parentales. » Il faut intervenir bien sûr. Mais les parents d’enfants violents le feront-ils ? Pour certains, c’est toujours la faute des autres, pas de leurs enfants. L’école, comme la maison, sont des lieux d’éducation, il ne faut pas l’oublier. »

Les services de la vie scolaire des établissements lotois ont également été prévenus.

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Le jeu de la virgule, avec ses dangers et ses…



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