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Plus de 100 Palestiniens ont été tués dans de nouveaux bombardements israéliens sur la bande de Gaza assiégée et dévastée, où le nombre de morts frôle désormais les 30’000, a indiqué samedi le Hamas. Des discussions sont prévues à Paris sur une trêve.

Plus de quatre mois après le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste Hamas, la situation humanitaire ne cesse d’empirer dans le territoire palestinien où l’ONU a mis en garde contre « une menace de famine de masse » faute d’approvisionnements suffisants en eau et nourriture.

« Regardez, nous nous battons pour du riz », a dit à l’AFP Ahmad Atef Safi, faisant la queue pour obtenir de la nourriture à Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza: « C’est une guerre de famine.

Menacés d’une opération d’envergure

L’inquiétude grandit chaque jour à Rafah, à la pointe sud du territoire palestinien où se massent au moins 1,4 million de personnes, pour la plupart des déplacése, menacées d’une opération de grande envergure de l’armée israélienne.

Avant l’aube, les bombardements israéliens ont coûté la vie à au moins 103 Palestiniens dans la bande de Gaza, a indiqué le ministère de la Santé du Hamas qui fait état quotidiennement état d’une centaine de morts dans ce petit territoire où Israël mène l’offensive la plus vaste de son histoire.

Au moins 29’606 Palestiniens y ont péri, en grande majorité des civils, depuis le début de la guerre le 7 octobre, selon le dernier bilan du même ministère.

Après avoir mené une campagne de bombardements par terre, mer et air contre le territoire exigu, l’armée israélienne a lancé le 27 octobre une offensive terrestre dans le nord de la bande de Gaza et ses soldats ont progressé jusqu’à Khan Younès dans le sud, où se concentrent les combats.

Plan d’ »après-guerre »

Déterminé à poursuivre la guerre jusqu’à l’élimination du Hamas, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a présenté jeudi à son cabinet un plan d’ »après-guerre », qui prévoit le maintien du « contrôle sécuritaire » d’Israël sur le territoire qu’il avait occupé de 1967 à 2005.

Ce plan a été immédiatement rejeté par le Hamas et l’Autorité palestinienne basée en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967 en violation du droit international.

« Réoccupation israélienne » exclue

Et critiqué par les Etats-Unis, principal allié d’Israël, dont le chef de la diplomatie,…





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