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Scandale : Voici pourquoi une femme et ses deux enfants de 04 et 02 ans jetés en cellule

Situation absolument étrange et énervante à Mbouda, commune du pays et chef-lieu du département des Bamboutos dans la région de l’Ouest. Une femme et ses enfants ont gouté à l’intransigeance des hommes en tenue qui n’ont eu aucune pitié à leur endroit.

Le très informé Nzui Manto a lancé la nouvelle : « Une femme et ses deux (02) enfants âgés de quatre (04) et deux (02) ans s’apprêtent à passer la nuit au commissariat de Mbouda accusés d’avoir volé les images du câble ».

C’est-à-dire que les trois (03) personnes ont été jetées en cellule et si rien n’a changé à partir du moment où Manto a écrit sur les réseaux sociaux, les citoyens ont passé la nuit derrière les barreaux.

« C’est depuis ce matin (matin du mercredi le 21 juin) que la pauvre femme a été arbitrairement arrêtée, sans convocation ni mandat et conduite au commissariat de Mbouda avec ses deux (02) petits enfants », apprend-on.

En réalité, « le câbleur du quartier qui faisait passer ses câbles sur sa toiture depuis deux (02) ans l’accuse d’avoir volé ses images et lui réclame soixante-quinze mille (75 000) francs CFA de dommages et intérêts ».

« À l’heure où ce texte est rédigé les policiers lui demandent à elle et ses deux (02) enfants d’entrer en cellule. Ainsi va le Cameroun », conclut l’informateur.

Il ne fait plus aucun doute pour les observateurs que « ça se voit clairement que ce pays très corrompu et des policiers qui ne font pas leur travail s’ils le connaissent même d’abord ».

« Toi le policier qui va faire goûter à ces jeunes enfants et leur pauvre maman la cellule, sache que le câble est d’abord illégal, l’État du Cameroun a refusé ça parce que ça crée les incendies partout sache aussi que tôt ou tard, tes propres enfants vont payer pour ça, d’une manière plus grave que tu ne peux imaginer, le karma prend tout son temps », avertit un internaute.

Aussi, « ces farfelues qui ternissent l’image de notre police doivent faire l’objet d’une sanction de la part du délégué régional de la sûreté nationale avec la plus grande fermeté en commençant si possible par un interrogatoire du commissaire des lieux. Les êtres humains doivent être traités avec une certaine dignité ».

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