sa maison de rêve dans le Var où elle se ressource loin de la capitale, “C’est chez moi !”
Le 24 septembre 2023 dernier, Emmanuelle Béart s’est vue confiée pour la première fois au grand public avoir été victime d’inceste entre ses 10 ans et 14 ans, dans le documentaire Un silence si bruyant, qu’elle a co-signé avec la réalisatrice Anastasia Mikova et diffusé sur M6.
Sans pour autant révéler l’identité de son bourreau, l’actrice de 60 ans précise toutefois qu’il ne s’agit pas de son père, le chanteur Guy Béart décédé en 2015, ni de sa mère. Sa démarche n’a pas une vocation de « règlement de comptes ». Il s’agit plutôt de mettre en lumière le parcours de vie de quatre autres victimes qui ont témoigné et tentent aujourd’hui de se reconstruire.
Emmanuelle Béart, l’actrice victime d’inceste
Selon Le Journal de la maison, les faits se seraient déroulés dans la maison familiale où elle vivait avec sa mère dans le Var. Originaire de cette région, plus précisément de Cogolin où elle est née, Emmanuelle Béart voue un profond attachement à cette région méditerranéenne où elle a passé la plupart de son enfance, au point où elle y a trouvé refuge.
En effet, comme le révèle Le Journal de la Maison, c’est dans cette région qu’elle s’est tout d’abord mariée au documentariste Frédéric Chaudier en 2018, avant d’y posséder une résidence secondaire loin de l’agitation parisienne. D’ailleurs, son passe-temps favori lorsqu’elle ne travaille pas n’est autre que le jardinage.
Un refuge romantique dans le var où Emmanuel Béart aime jardiner
Elle revenait d’ailleurs sur ses racines, chères à son cœur, dans le journal Nice Matin en 2021 : « Je suis une fille de Cogolin, l’odeur des mimosas, de la Méditerranée, du monoï l’été, des vignes, des arbres… J’ai grandi dans cette nature-là. C’est chez moi ! »
Si elle apprécie particulièrement se mettre au vert dans sa résidence du Var, l’actrice possède également un appartement dans la capitale où ses trois enfants ont grandi avec elle. Désormais partis du nid pour les deux aînés, elle peut désormais compter sur la présence de son petit dernier, Surifel, adopté en 2010.
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Elle revenait d’ailleurs en 2008 dans les colonnes de La Dépêche sur l’ambiance qui régnait au sein de cette famille : « À la maison, on discute beaucoup, on rit, on crie. On est nombreux. Je vis avec ma grand-mère qui a 104 ans. Elle m’apporte beaucoup. Humour, joie de vivre, force. »
Avant d’ajouter : « Le dimanche, il n’y a pas de règle, chacun fait ce qu’il veut mais le soir, c’est spaghettis à la bolognaise avec fromage râpé et vache qui rit. C’est une tradition, ce n’est pas vraiment bon, mais c’est ma cuisine… »
