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Panique au palais : les militaires jugés dangereux arrêtés

Ce n’est plus vraiment un secret pour personne. Les régimes longtemps assis sur le trône en Afrique sans partage, commencent par voir le danger venir. Plusieurs coups d’État spectaculaires ont eu lieu ces dernières années dans les pays : Mali, Guinée, Niger, Burkina Faso… et récemment au Gabon.

La paranoïa, ou disons plutôt que la prudence et la grande sagesse et aussi l’expérience voudraient que ces dirigeants avides du pouvoir, se laissent facilement convaincre que ‘ça n’arrive pas qu’aux autres’. Ils se le disent certainement, vu les décisions politiques qu’ils prennent à la hâte.

Au Cameroun où Paul Biya l’homme de 90 ans dirige le pays d’une main de fer depuis plusieurs décennies, immédiatement que le coup d’État a été consommé au Gabon, le président a signé un décret pour réorganiser son armée. Quel timing de génie ! C’est tout sauf une simple coïncidence.

Paul Biya ne veut pas connaître le même sort que son homologue Ali Bongo. Officieusement, des choses se passent derrière les rideaux. Nous apprenons que des têtes soupçonnées de renverser le régime sont en train d’être coupées sans aucune pitié.

Même si selon nos sources, le mari de Chantal Biya ne devrait pas se présenter à l’élection présidentielle de 2025, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) aurait bien l’intention d’investir le fils Emmanuel Franck Biya pour succéder à son père à la fois à la tête du parti ainsi qu’à la tête du pays. C’est une affaire de famille, tenez-vous bien.

Rémy Ngono observe également tout. Et le journaliste fait un début de déballage : « La grande peur au palais. Révélations inédites à suivre dans les évangiles du pape des dossiers noirs. Faustin-Archange Touadéra trahit Poutine et demande de l’aide à Paul Biya et Emmanuel Macron ».

L’homme de média révèle également qu’actuellement, « Des militaires centrafricains sont mis aux arrêts et que le zomlo’o Amougou Belinga et un colonel sollicitent le général Oligui Nguema pour organiser un coup d’État au Cameroun ».

Il ajoute par rapport à l’assassinat de Martinez Zogo que « Paul Biya prend position sur la libération du zomlo’o ». Mais encore, Rémy Ngono promet de parler d’un sujet relatif à « un général de l’armée camerounaise et Laurent Esso qui torturent à mort un orphelin ». Le direct prévu ce jour sera chaud.

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