le vrai visage de Nagui hors caméra dévoilé par ce chauffeur de salle, « Il était tellement… »
Si Jarry a remplacé Nagui à la tête Tout le monde veut prendre sa place, ses fans peuvent toujours le retrouver sur France 2 dans N’oubliez pas les paroles. Depuis 2007, l’animateur guide les différents Maestros, créant une vraie complicité avec certains. Une chaleur humaine que ses collaborateurs confirment. Mais ce n’est pas le seul trait de caractère que ses proches veulent mettre en avant.
Nagui se moque d’une candidate
N’oubliez pas les paroles est tel un royaume dans lequel l’humour de Nagui règne en maître. Incroyablement résistant, l’animateur de 62 ans ne manque jamais de répartie. C’est ce sens de l’humour qui plait tant au public, comme le 2 février lorsque l’animateur s’est moqué de l’échec d’une des candidates « Alors, vous vous êtes totalement vautré quand même sur le tempo, je suis surpris ». Un commentaire qui a rendu le public hilare.
Nagui travailleur sans relâche
Mais l’humour n’est pas le seul aspect de la personnalité que les proches de Nagui veulent mettre en avant quand ils parlent de lui. La choriste de l’émission, Magali Ripoll, a par exemple partagéson opinion sur le présentateur. « Pour moi, ce qui le caractérise le plus hors antenne, c’est que c’est un acharné de travail ! Parfois, il fait trois journées de boulot en une. Je me demande comment il fait pour garder ce rythme et cette forme ! C’est un véritable modèle ! ».
Nagui : une machine de guerre
Une information confirmée par Bruno Vanony, un intermittent du spectacle qui a été le chauffeur de salle de Tout le monde veut prendre sa place pendant 13 ans. « Avec Nagui, on ne chômait pas. On enregistrait huit émissions de 47 minutes par jour. Il était tellement professionnel qu’il mettait 50 minutes par émission. Une vraie machine de guerre ».
Nagui épuise ses collaborateurs
Comme le rapporte Allociné, cet ancien collaborateur conserve malgré tout un excellent souvenir de ces années de travail en commun. « Il y a des animateurs avec qui ce sont des tunnels. Tu sais quand ça commence, mais quand ça se termine. Mais pas lui […]. Il confie toutefois avoir toujours fini « rincé » de ses longues journées de travail.
