Le mari de Nathalie Koah arrêté pour avoir falsifié la signature du président voici les details
Ça va encore jaser autour de l’influenceuse Nathalie Koah qui se fait pourtant discrète depuis un moment maintenant sur les réseaux sociaux. Le public camerounais très friand de ces genres de nouvelles va encore s’en régaler.
Celle qui se fait surnommer la « déesse du back to senda » est sur toutes les lèvres parce que son mari se serait fait avoir à l’étranger pour une histoire criminelle qui n’honore pas le nom du principal accusé, ni de son ancienne compagnon Nathalie Koah, encore moins de leur enfant Beverly.
La nouvelle s’est rapidement répandue sur internet comme une traînée de poudre. Même si les faits restent à confirmer, plusieurs sources s’accordent à dire que le père de la petite de Nathalie Koah a réellement commis l’erreur en question qui va lui ouvrir les portes de la prison.
Les informations sont que « le daron a été arrêté en Guinée Équatoriale dans une affaire de corruption et d’usage de faux avec son frère et d’autres complices ».
En effet, la source renseigne que « selon une publication officielle du vice-président du pays, le groupe falsifiait la signature du président de la République depuis trois (03) ans. Leur stratégie consistait à gagner des sociétés de maintenance fictives qui facturaient l’État en complicité avec le Trésor public ».
La plateforme annonciatrice des faits souhaite du « courage à la nationale Nathalie Koah et surtout à la petite Beverly, ainsi qu’à l’épouse officielle de Juan et à ses autres enfants ».
L’on se rappelle, écrit-elle, « qu’il n’y a pas longtemps de cela, Nathalie Koah nous annonçait fièrement que baby daddy envoyait cinq (05) millions de francs CFA de ration chaque mois. Il lui avait même acheté un Range Rover, en plus d’envoyer la petite à l’école américaine où elle payait 15 millions de frais de scolarité chaque année ».
« Il se pourrait malheureusement que l’argent n’entre plus pendant un bon moment. D’après certaines personnes, Juan serait passé directement par la case « prison » et pourrait y croupir pendant de très longues années », apprend-on.
