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la cousine de William et Harry sans filtre sur son “corps post-partum” 6 mois après son accouchement


La princesse Eugénie d’York a fait sensation en janvier dernier, lorsqu’elle a annoncé sur les réseaux sociaux être enceinte de son deuxième enfant. En 2021, elle avait déjà mis au monde un premier fils avec son mari Jack Brooksbank. Et comme l’a confirmé Paris Match, la famille s’est finalement agrandie cet été, lorsque ce deuxième enfant a fini par naître.

Elle n’a pas gardé cette nouvelle pour elle, son mari et sa famille. Dès qu’il est né, son deuxième fils, qui se prénomme Ernest, a eu droit à une présentation sur les réseaux sociaux. « Jack et moi voulions partager la nouvelle de la naissance de notre petit garçon, Ernest George Ronnie Brooksbank, le 30 mai 2023 à 8h49 pour un poids de 7,1 livres (3,2 kilos) », a-t-elle alors annoncé. « Il porte le nom de son arrière-arrière-arrière-grand-père George, de son grand-père George et de mon grand-père Ronald. »

Eugénie d’York s’exprime dans les médias sur son corps post-partum

Toutefois, la deuxième grossesse de la princesse Eugénie d’York a visiblement eu des conséquences sur son corps auxquelles elle ne s’attendait pas. Elle s’est récemment exprimée sur le sujet dans le podcast Table Manners, présenté par Jessie et Lenny Ware. Selon la princesse, il est tout simplement difficile pour une femme de perdre les kilos en trop qu’elle gagne pendant la grossesse.

C’est tout du moins ce que la princesse Eugénie d’York a vécu. Durant le podcast, elle s’est tournée vers Jessie Ware pour parler de ce problème. « Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais en ce qui concerne le corps post-partum, je trouve qu’il est vraiment difficile de se débarrasser des kilos de grossesse », a-t-elle alors lancé. Elle a enchaîné en expliquant que la pression sociale sur les femmes après la naissance des enfants est trop forte.

Eugénie d’York se livre sur la pression sociale ressentie par des femmes après leur accouchement

« Je suppose que la société nous dicte de nous débarrasser de nos kilos de grossesse et toutes ces choses », a ensuite livré la princesse Eugénie d’York dans ce même podcast. La princesse a souligné que cette pression se ressent probablement encore plus chez les personnalités médiatisées. Pour elle, le problème est encore plus profond, puisqu’elle a révélé avoir été victime de harcèlement lorsqu’elle était plus jeune.

« Je pense que dans notre famille, cela arrive à l’âge parfait, lorsqu’on a 13 ans, une coupe de cheveux un peu ridicule, que l’on est un peu ronde et que tous les garçons nous harcèlent et tout ça », a-t-elle partagé dans ce podcast. En d’autres termes, la princesse Eugénie d’York cumule tous les facteurs qui accroissent la pression sociale à son égard. Manifestement, cela aurait joué sur la perception de son corps post-partum.

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Une vie de famille épanouissante entre l’Angleterre et le Portugal

Si la princesse Eugénie d’York peut tenir de tels propos, c’est précisément parce qu’elle a donné naissance à deux fils : August et Ernest. Ainsi, la pression qu’elle a pu ressentir sur son corps post-partum a dû être rapidement contrebalancée par le bonheur de bénéficier d’une vie aussi épanouissante que la sienne. D’ailleurs, elle vit en ce moment régulièrement entre Londres et le Portugal.

Selon la princesse, la vie au Portugal est moins formelle qu’en Angleterre. « C’est le rêve, car je peux aller au supermarché en tenue de sport, les cheveux défaits sans que cela ne me dérange. Tout le monde s’en fiche ! », a-t-elle partagé à ce propos. Du côté de sa vie professionnelle, Eugénie d’York a aussi la chance de travailler dans une galerie d’art londonienne.





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