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« Je vais faire un sevrage à la dure » : Amandine Pellissard se confie sur son traitement de substitution à l’héroïne



Jeudi 7 décembre, Amandine Pellissard a annoncé sur son compte Instagram une nouvelle importante à ses abonnés. Après avoir pris un traitement à la méthadone pendant quinze ans, la maman de neuf enfants a décidé de se sevrer.

Depuis son passage dans l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL, Amandine Pellissard continue de partager son quotidien mouvementé sur les réseaux sociaux. Le 6 août dernier, Amandine et son mari Alexandre ont accueilli leur neuvième enfant : une petite fille prénommée Maéna, née à seulement six mois de grossesse. « Nous t’attendions au mois de novembre… Et… Te voilà le 6 août 2023 à 21h22. J’entends ton premier cri. Tu viens au monde à 26 sa + 2 jours. Tous mes sentiments s’entremêlent. Malgré ton terme si précoce, je peux accoucher par voie basse et sans péridurale comme je le souhaite« , avait expliqué la maman sur son compte Instagram. La naissance prématurée de la fillette a donc nécessité plusieurs mois d’hospitalisation. Le 11 novembre dernier, le couple Pellissard a annoncé une heureuse nouvelle. Après une période compliquée, Maéna a enfin été autorisée à sortir de l’hôpital.

« Je vais faire un sevrage à la dure »

Jeudi 7 décembre, Amandine Pellissard a évoqué un tout autre sujet avec ses abonnés Instagram. Après avoir pris un traitement à la méthadone pendant quinze ans, la maman de neuf enfants a décidé de se sevrer. « Je ne vous ai jamais caché que j’étais sous méthadone depuis de nombreuses années. Ce traitement a dû être augmenté au fur et à mesure de mes grossesses. […] Mais là, j’ai saturé« , a-t-elle d’abord expliqué. « Je devais retourner à mon rendez-vous d’addictologie et je me suis dit : ‘Je vais faire un sevrage à la dure, en fait. J’arrête. D’un coup’« , a-t-elle continué. La maman a ensuite expliqué avoir arrêté son traitement depuis deux jours. « Je préfère en chier, physiquement. Psychologiquement, ça va très bien, car je suis totalement détachée de cette dépendance. […] Physiquement, c’est dur : les douleurs musculaires, les crampes, les troubles divers et variés. […] C’est vrai que le manque en lui-même, c’est très violent« , a-t-elle ajouté. Une étape difficile.



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