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il ne vous reste plus que 5 jours pour voir ce film à couper le souffle avec Emily Blunt


Comment s’est déroulée votre soirée de l’horreur ? Après une courte nuit, vous avez peut-être envie de prolonger encore un peu l’ambiance d’Halloween avant de passer sans transition aucune à celle des fêtes de Noël. Ça tombe bien, le catalogue XXL de Netflix vous réserve encore quelques jolies surprises.

Alors qu’une partie de l’Hexagone se prépare à subir les coups de vent violents de la tempête Ciaran, décision a été prise de rester confiné à la maison. Et vous avez bien raison ! D’ailleurs pourquoi en pas visionner en bonne compagnie l’un de ces huis clos angoissants ?

Netflix nous fait trembler d’horreur

En tête des thrillers les plus regardés sur la plateforme au N rouge, on retrouve Get Out du réalisateur et comédien Jordan Peele. Après avoir assisté au supplice du personnage interprété par l’acteur britannique Daniel Kaluuya, vous risquez de ne plus accepter aucune invitation de vos proches à passer le week-end. Don’t Breath : la maison des ténèbres de l’Uruguayen Fede Alvarez va également vous laisser, et c’est peu de le dire, le souffle coupé.

Du reste, en matière de cinéma d’horreur, la menace ne vient pas toujours de l’intérieur. Sans un bruit, une réalisation de John Krasinski sortie en salles en 2018 ne nous le rappelle que trop bien.

Le film Sans un bruit quitte bientôt la plateforme de streaming

Le 6 novembre prochain, ce film de science-fiction immersif quittera le catalogue de Netflix. Il ne vous reste donc plus que quelques jours pour vous plonger dans cet univers sourd post-apocalyptique ayant attiré plus de deux millions de personnes au cinéma rien qu’en France.

« S’ils vous entendent, c’est déjà trop tard », nous prévient le studio. « Qui ça ‘ils’ ? », direz-vous. D’effrayantes créatures aveugles que les protagonistes joués par John Krasinski et Emily Blunt et leur progéniture, mari et femme dans le film comme à la ville, tentent de semer pardi. Leur particularité : une ouïe exceptionnelle leur permettant de repérer un humain au moindre craquement de feuilles sous sa chaussure.

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Moins de dialogue pour plus d’angoisse

Pour préparer ce projet dantesque, son réalisateur a commencé à traquer le moindre bruit innocent de la vie quotidienne. « Je me suis mis à tout écouter, du cliquetis des couverts sur les assiettes jusqu’à la façon dont les chaussures tombent sur le sol lorsqu’on les enlève. C’est même devenu une sorte de jeu à la maison : ma femme et moi, on essayait d’être silencieux et si jamais l’un d’entre nous faisait le moindre bruit, il fallait qu’on se tourne l’un vers l’autre le plus silencieusement possible et lui dise ‘t’es mort’. Finalement, ça a été une très bonne préparation », a raconté John Krasinki.

Ne vous attendez ainsi pas à des échanges d’anthologie. Le film ne comprend que 25 lignes de dialogue en tout, un dénuement qui nous fait craindre pour la vie des personnages à chaque phrase prononcée.





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