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Il m’a habituée au s3xe : les techniques utilisées par le garçon l’ont rendue accro à vie

Certaines liaisons sont faites pour ne pas durer, surtout quand les deux (02) protagonistes ne font rien pour vivre ensemble longtemps. Il n’est un secret pour personne que de plus en plus de relations à cette époque, sont plus sexuelles qu’amoureuses, surtout chez les jeunes qui préfèrent l’exagération à la stabilité.

L’écrivain Richy Plume Ram est souvent narrateur de ces situations de couple qui frisent la folie et la folle passion. Il raconte à nouveau une histoire titrée « il m’a habitué au **** et épouse une autre femme ». Entamons la lecture.

Je m’appelle Rosine, mais appelez-moi Rosy. Dix ans plus tôt… J’étais dans ma vingtième année et en deuxième année de Droit. Je viens d’une petite famille qui se résume à trois personnes : ma grande sœur Nadège, moi et mon petit frère Sam. Mon seul souci était de tout faire pour faire de mes rêves des réalités. Donc pour ça et pour ne pas me fabriquer moi-même des obstacles pour mon avenir, j’avais décidé de ne pas me lancer dans une relation amoureuse.

Ce n’était pas que ça ne me plaisait pas, mais je me disais que j’avais tout le temps de faire toutes ces choses qui sont sûrement nécessaires pour mon existence. Ma beauté envoûtante et ma belle forme n’arrêtaient pas d’attirer les hommes vers moi. Si ce n’étaient pas mes camarades, ce seraient mes professeurs ou les hommes de grandes classes sociales qui n’arrêtaient pas de garer leurs voitures luxueuses tout juste pour me chanter leurs cantiques d’amour.

Mais malgré tout ça, et même malgré ma vie dont on se moquait parce que mes parents ne sont pas riches, je ne me suis pas laissé intimider par ces choses éphémères que me présentaient ces hommes, juste pour goûter à cette chose qui m’est précieuse, mon entrejambe. J’avais une copine ; elle s’appelait Gloria, une fille vraiment dingue. Gloria fut la seule copine que j’avais depuis les cours secondaires. Cette dernière qui est devenue une briseuse de cœur des hommes à cause des différents plats de déception qu’elle a eu à goûter, était arrivée avec le temps à aimer un homme qui l’aimait aussi.

Gloria n’arrêtait pas de me dire de me laisser aller, car beaucoup d’homme passaient même par elle pour avoir mon contact et autres informations sur moi. Mais je ne taillais pas d’importance à ses mots, jusqu’au jour où j’ai fait la connaissance d’Éric, un gars vraiment beau et super cool. Éric était en troisième année de médecine. Ce dernier, qui avait pris par ma copine Gloria pour m’avoir, m’avait tout simplement foudroyée par tout ce qui venait de lui. Je n’arrivais même pas à contrôler l’amour que j’avais pour lui.

Les temps passaient et moi qui ne voulais pas me lancer dans une relation avant ma licence, j’avais totalement pris le goût de la relation amoureuse ; car Éric me comblait de tout son amour. Avec lui, je voyais fleurir à nouveau toutes les fleurs qui étaient mortes.

Tout allait bien entre Éric et moi jusqu’au jour où Éric commença par me demander le ****. Nous venions de passer notre huitième mois de relation et je me posais des questions concernant cette chose qu’il me demandait, parce que, pour moi, c’était déjà trop tôt ; aussi, j’avais encore ma virginité. Chaque fois que je rendais visite à Éric, sa seule et unique chanson qu’il me chantait était : « Mon amour, ma reine, j’ai envie de toi. Toi aussi ! Nous sommes ensemble maintenant ça fait déjà des mois, et tu sais très bien que je t’aime. Pourquoi tu ne veux pas aller au **** avec moi ? Ou bien tu n’as toujours pas confiance en moi ? ».

Toutes ces choses qu’Éric me disait me rendaient mal à l’aise parce que j’avais une forte confiance en lui et aussi je l’aimais de tout mon cœur. C’était tout simplement la source de mon existence. Mais malgré tout l’amour que j’avais pour lui, je ne me laissais pas aller et pour ne pas me faire avoir, j’avais même stoppé les caresses avec lui. On s’embrassait juste et c’est par hasard que ça se passait. J’avais aussi arrêté de lui rendre visite comme d’habitude. Sinon, je partais chez lui chaque week-end.

J’avais plusieurs fois parlé de cette affaire de rapport ****** à ma copine Gloria. Cette dernière me rassura qu’il n’y avait rien de grave à aller au **** avec celui qu’on aime, que je devrais le satisfaire au risque de lui donner une raison de me tromper avec d’autres filles. Elle m’avait même dit que c’était cette même histoire qui lui avait fait goûter à son premier plat de déception. J’avais écouté tout ce que ma copine m’avait dit et après plusieurs réflexions, j’avais décidé de passer à l’acte avec mon petit ami.

C’était un samedi et je n’étais pas partie à l’université. J’étais à la maison quand Éric m’avait appelée. D’après ce qu’il m’avait dit au téléphone, il voulait que j’allasse le voir chez lui. Comme moi aussi je ne faisais rien à la maison, je décidai de m’apprêter pour aller le voir. Je m’étais apprêtée et après avoir servi la bouffe que j’avais décidé d’apporter à Éric, j’allai informer ma mère avant de prendre la route. Mes parents connaissaient très bien Éric et je connaissais aussi les parents de ce dernier.

Après avoir passé une demi-heure sur la route, j’étais enfin devant la maison d’Éric. Après avoir réglé le chauffeur qui m’avait remorquée, j’entrai dans la maison. Une fois à l’intérieur, je vis les parents d’Éric et les saluai avant d’entrer dans la chambre d’Éric. Assis au salon, devant son ordinateur, Éric lisait certains documents. Je le saluai en lui faisant un bisou sur le front ; il me gratifia aussi d’un bisou. Ensuite, je pris siège à côté de lui après avoir déposé sur le guéridon la bouffe que je lui avais apportée. Il laissa ce qu’il faisait et nous commençâmes par discuter en nous taquinant.

Tout doucement, les taquineries commençaient par devenir autre chose. Il se mit alors à me caresser et je le laissai faire, bien que j’eusse interdit entretemps ces débordements. Éric avait emprisonné mes lèvres et ses mains caressaient tout mon corps. Moi aussi, je caressais sa tête et répondais à ses lèvres. Alors, il glissa tout doucement sa main dans ma jupe et je sentis sa main se balader sur mes cuisses et ma partie intime. Je ne disais toujours rien ; je me contentais de suivre son rythme.

Tout à coup, un grand vent commença par souffler. Malgré les bruits que faisaient sa porte et les fenêtres de sa chambre, il ne voulait pas se décoller de moi et j’étais obligée de le stopper.

– Mon amour, je pense qu’il va pleuvoir.

– La pluie ?

– Oui, tu ne vois pas le vent violent qui souffle ? Va fermer les fenêtres, moi, j’irai fermer la porte.

Les fenêtres et la porte furent fermées. Nous étions à peine sur le point de prendre place quand la pluie avait commencé. Éric avait fermé son ordinateur et était parti le déposer sur sa table de nuit. J’étais assise dans le sofa au salon. Je voulais allumer la télé quand Éric me demanda de venir le voir dans la chambre à coucher. Je me suis rapidement dit qu’il avait toujours dans la tête cette envie de me faire l’amour et comme moi aussi j’étais prête à lui donner ce qu’il voulait, sans oublier cette fraîcheur naturelle qui avait envahi toute la chambre, j’étais partie le voir dans la chambre à coucher. Étant allongé dans son lit, il me pria de m’allonger aussi à côté de lui.

Une fois près de lui, j’avais commencé par trembler parce que déjà je me voyais dans ce que j’imaginais. Éric s’approcha de moi, tendit ses lèvres vers les miennes et commença par m’embrasser. Je me laissai aller, et il avait commencé par me caresser. Il caressait mes cuisses, touchait ma poitrine, en ayant toujours mes lèvres emprisonnées dans les siennes. Moi aussi je le caressais, je ne savais même pas ce qui m’avait prise et j’avais commencé par toucher sa partie intime. Ma main glissait sur là-bas et lui aussi n’arrêtait pas de me caresser. Petit à petit, il avait réussi à ouvrir les boutons de l’habit que j’avais porté et le voilà enfin face à face avec mes deux beaux citrons. Il avait pris le temps de bien les caresser avant de faire sortir un des deux du soutien-gorge sans bretelle que j’avais porté et commencer par le téter. Après cela, il fit sortir le second et fit la même chose avec.

En ce moment, je n’arrivais plus à me contrôler, la seule chose que je faisais était de garder bien sa tête pour qu’il puisse bien me sucer. Complètement noyée dans le plaisir, je glissai ma main dans le short qu’il avait porté. Ma main était enfin en contact de sa partie intime et sans plus tarder, j’avais commencé par la caresser. J’avais les yeux fermés et je prenais le goût de ce qu’Éric faisait avec ma poitrine et avec les gestes qu’il faisait, je remarquais que lui aussi prenait du plaisir avec ce que je faisais avec sa partie intime. Tout doucement, Éric m’enleva totalement l’habit que j’avais porté ainsi que mon soutien. Il ne restait désormais que ma jupe et mon slip (…).

Nous y reviendrons.

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