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« Il faut absolument qu’on m’enferme » : Jérémy Ferrari revient sur sa décente aux enfers à cause de son addiction à l’alcool (ZAPTV)



Dimanche 3 mars, Jérémy Ferrari était l’invité de Frédéric Lopez dans Un dimanche à la campagne. Au cours de cet entretien, l’humoriste est revenu sur son addiction à l’alcool qui lui a fait envisager le pire.

Il est l’un des humoristes les plus populaires de sa génération. Depuis son passage dans l’émission de Laurent Ruquier On ne demande qu’à en rire, Jérémy Ferrari enchaîne les spectacles. En novembre dernier, l’humoriste a notamment annoncé une tournée des Zéniths avec Baptiste Lecaplain et Arnaud Tsamere.

Cette tournée très attendue est baptisée « tournée du trio », en référence à leur précédent spectacle qu’ils ont joué ensemble entre 2013 et 2014. Depuis 2020, Jérémy Ferrari est par ailleurs en tournée partout en France avec son spectacle Anesthésie générale. Le  9 et 10 mars, il se produira notamment sur la scène de l’Accor Arena à Paris.

Les confidences de Jérémy Ferrari sur son alcoolisme

Invité de Frédéric Lopez dans Un dimanche à la campagne, Jérémy Ferrari est revenu sur un épisode très douloureux de sa vie. Connu pour son humour corrosif, Jérémy Ferrari a longtemps dissimulé un mal-être profond qui l’a plongé dans l’alcool. Alors qu’il rencontre le succès sur scène avec son deuxième spectacle, il se bat en coulisses contre son addiction. « Vers 29 ans, 30 ans, à partir de ce moment-là déjà tous les soirs je suis ivre, jusqu’à arriver à un moment donné où je bois toute la journée. Et je prends des médicaments évidemment, parce que je n’ai plus la forme, je perds ma voix sur scène donc je commence à prendre de la cortisone », a-t-il expliqué.

Durant cette tournée, Jérémy Ferrari va atteindre « le point de non retour ». Après trois jours sans sommeil, il fait une tentative de suicide. « Je me suis mis au bord de la fenêtre », a-t-il confié. « Au début je ne monte pas au bord de la fenêtre en me disant ‘je vais sauter’, je veux juste voir si l’imaginer ça m’apaise […] je regarde le vide et je veux voir ce que ça va me faire », a-t-il continué. À ce moment-là, Jérémy Ferrari prend conscience qu’il a besoin d’aide. « Et là je me dit ‘je suis capable de me tuer’. Et là je me dis qu’il faut absolument qu’on m’enferme », a-t-il ajouté. Un témoigne touchant.



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