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Elisabeth Borne désavouée par son ministre de la Santé : ce qu’il lui conseille de ne plus faire



Le 30 novembre, Elisabeth Borne faisait polémique après avoir vapoté dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Aurélien Rousseau, ministre de la Santé, a profité de son passage dans Dimanche en politique, sur France 3, pour arrondir les angles et conseiller la Première ministre.

Elisabeth Borne se fait de nouveau remonter les bretelles. Le 30 novembre dernier, la Première ministre s’était fait recadrer, dans l’Assemblée nationale, pour avoir vapoté deux jours après le plan contre le tabac. La députée insoumise Caroline Fiat s’est permis de lui faire remarquer : « Madame la Première ministre, sincèrement. Alors que le ministre de la Santé a annoncé pour des raisons de santé publique qu’il ne fallait plus fumer sur les plages, aux abords des bâtiments publics… Ici, nous écrivons la loi. On n’est pas au-dessus des lois. Vapoter dans cette enceinte pendant que je suis en train de vous parler, c’est un mépris total. Et pour rappel, ce n’est pas bon pour la santé. »

Une polémique qui continue de faire parler puisqu’Aurélien Rousseau, ministre de la Santé, a profité de son passage dans l’émission Dimanche en politique sur France 3 pour glisser un petit conseil à Elisabeth Borne.

Aurélien Rousseau conseille Elisabeth Borne

« Quand on est en motion de censure, qu’aucun des députés – ou quasiment pas – qui ont déposé la motion de censure ne s’est donné la peine de venir, qu’on a une oratrice qui est extrêmement agressive avec la Première ministre, à la fois je lui conseillerais de ne plus le faire (vapoter), et à la fois je comprends que c’est un moment assez désagréable à passer« , commence Aurélien Rousseau, ministre de la Santé, dans Dimanche en politique. L’ancien directeur de cabinet d’Elisabeth Borne rappelle tout de même que « le vapotage à l’Assemblée, du reste, n’est pas autorisé, je crois, selon le règlement de l’Assemblée nationale ».

Le ministre de la Santé conclut cet épisode en précisant que l’on « doit se déshabituer de montrer en permanence la fumée ou la cigarette. Après, on est dans un sujet très différent : par exemple là, on a une ancienne fumeuse qui, pour se sevrer, passe par le vapotage. Moi, mon combat, c’est que notamment vis-à-vis des jeunes, ceux qui leur proposent des puffs colorées, avec des goûts, etc., ne les fassent pas renter dans la cigarette. » Ils ne sont pas là de fumer le calumet de la paix.



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