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des phares mal réglés et mal utilisés


Selon une enquête européenne, rapporte l’ACL, l’éblouissement sur la route reste un facteur d’insécurité.

C’est ce que montre la dernière enquête européenne sur le sujet, à laquelle a participé le Luxembourg via l’ACL. En novembre dernier, 4 312 personnes ont répondu à un sondage au Grand-Duché, en Allemagne, en Autriche, en Suisse et en Belgique. Avec 447 répondants, l’échantillon luxembourgeois est «trop faible pour être représentatif». L’ACL note toutefois des résultats similaires à ceux des voisins.

De manière générale, 71 % des sondés rapportent des problèmes de visibilité lors de conditions difficiles comme l’obscurité, la pluie et la neige. Les répondants belges, eux, soulignent être davantage gênés par l’ensoleillement. Pour tous, les feux de route sont clairement pointés comme étant les plus éblouissants (81 % des réponses), suivis de loin par les feux de croisement (31 %) et les feux antibrouillard arrière (27 %). À noter que les Luxembourgeois sont plus incommodés par les feux antibrouillard arrière que par les feux de croisement.

Quoi qu’il en soit, la majorité des automobilistes disent plisser les yeux face à la gêne occasionnée. D’autres détournent le regard pour se concentrer sur une autre zone de la route et certains ferment complètement les yeux. L’ACL donne à cet effet des conseils pratiques : éviter de regarder le faisceau lumineux des véhicules venant en sens inverse; les feux antibrouillard ne doivent être utilisés que lorsque la visibilité est inférieure à 50 mètres et jusqu’à 50 km/h; vérifier régulièrement les réglages des phares, pour les véhicules qui ont une commande manuelle, sachant que la portée de la lumière doit être ajustée vers le bas; enfin, nettoyer régulièrement les vitres des phares.



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