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cette robe iconique de la princesse Diana, vendue plus d’un million de dollars, rentre dans l’histoire


Éternelle, la princesse Diana a réussi à entreprendre une chose, que peu de personnes peuvent se vanter d’avoir accomplie, même au cours de toute une vie. Celle d’avoir touché le monde entier au plus profond de son cœur. À tel point, que 26 ans après sa tragique disparation, Lady Di continue de bouleverser des millions d’âmes sur Terre. Cette fascination pour la mère des princes William et Harry perdure, et l’engouement des aficionados de son style s’est récemment confirmé, lors d’une vente aux enchères, durant laquelle le prix d’un vêtement a déjoué tous les pronostics.

Lady Di : sa garde-robe se revend à prix d’or, 26 ans après sa mort

Ce n’est pas la première fois que les vêtements ayant appartenus à la défunte princesse de Galles, font l’objet d’une vente aux enchères. En septembre 2023, le célébrissime pull rouge « mouton solitaire » porté par Lady Di en 1981, a été revendu 1,1 million de dollars par Sotheby’s, soit 14 fois plus cher que son estimation.

Parallèlement ce même mois, une autre vente aux enchères se tenait chez Julien’s Auctions, à l’initiative du veuf d’Ellen Petho, richissime architecte d’intérieur du Michigan. Une puissante femme d’affaires qui avait acheté cinq vêtements de Lady Di, chez Christie’s en 1997, deux mois avant la mort de la princesse Diana. Trois de ses habits achetés deux décennies plus tôt, ont donc été revendus à prix d’or par le biais de son mari. Une fois de plus, une impressionnante marge a été réalisée sur cette vente, qui a rapporté plus de 1,5 million de dollars, un prix nettement supérieur à celui escompté.

Au tournant de 2024, une autre des robes ayant appartenu à l’ex-femme du roi Charles III, a été cédée, pour un prix tout aussi exorbitant, si ce n’est plus.

Princesse Diana : cette robe de soirée Azagury s’est revendue 11 fois son prix d’estimation aux enchères

Ce dimanche 17 décembre, fut synonyme de nouveau « jackpot » pour la maison américaine Julien’s Auctions. Et pour cause, cette somptueuse robe du soir de la princesse Diana a battu des records de vente, en partant à elle seule à 1,1 million de dollars. Autrement dit, 11 fois son estimation.

Derrière ce vêtement, se cache une véritable Histoire de mode avec Jacques Azagury, le créateur de mode d’origine marocaine qui a esquissé cette robe de soirée spécialement pour la jeune princesse. Cette création qui est à présent reconnue comme la plus chère de Lady Di jamais vendue aux enchères, a été portée en Italie en 1985, par la « princesse des cœurs » aux côtés de son époux à l’époque, le prince Charles.

Exposée au palais de Kensington, dans le cadre d’une exposition de mode royale en 2013, cette robe Azagury n’a rien perdu de sa superbe. Structuré par d’imposantes épaulettes, le corsage en velours noir brodé d’une constellation d’étoiles violet profond, va de pair avec un jupon en organza de même tonalité. Une jupe d’inspiration ballerine, la danse qui fut l’une des plus grandes passions de la princesse Diana.

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Azagury, une des marques de mode préférées de la princesse Diana

« Chaque robe que j’ai réalisée pour Diana était spéciale pour moi. Chacune a sa propre histoire. ». C’est en 1987, que Jacques Azagury fut présenté à Lady Di par Anna Harvey, rédactrice en chef du British Vogue à l’époque. Alors qu’il présentait sa collection automne-hiver, le coup de foudre « stylistique » était né, puisque la princesse Diana fit de nombreuses fois appel à ses services pour coudre et découdre ses étincelantes robes de soirée.

« Si j’étais poussé à citer ma préférée, ce serait la robe en dentelle chantilly noire et perlée, que je lui ai offerte pour son 36e anniversaire » confie le couturier qui a étudié au London College of Fashion et à la St Martin’s School of Art. Cette robe en question n’est autre que celle portée par la belle-mère de Kate Middleton et de Meghan Markle, au cours du dîner de gala de collecte de fonds. Un évènement destiné à marquer le centenaire de la Tate Gallery, à New York, le 1er juillet 1997. Bien tristement deux mois, avant la disparation de l’éternelle princesse de cœurs.





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