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cette fortune gagnée grâce à la vente de cette bague surnaturelle, “Que des trucs faux”


Danièle Gilbert a pris part à l’émission Chez Jordan diffusée sur C8 ce lundi 27 novembre. Au cours de cet échange, l’ex-animatrice de télévision a partagé des réflexions intimes sur son expérience en prison et a abordé les détails de sa condamnation, survenue il y a plus de trois décennies.

Selon les informations rapportées par Le Monde, l’ancienne speakerine à l’ORTF a été incriminée pour avoir fait l’éloge des prétendus pouvoirs surnaturels d’une bague, ce qui a conduit à sa condamnation. Elle s’est vue infliger une peine de six mois de prison avec sursis et une amende de 200 000 francs (environ 45 000 euros), pour des chefs d’accusation liés à l’escroquerie et à la publicité mensongère.

Les confidences de Danièle Gilbert sur les accusations émises à son encontre

« Une fois, on m’a demandé de faire de la pub pour un truc et après, ils s’en sont servis… », a-t-elle expliqué à Jordan De Luxe. Et de rapporter ce que lui ont reproché les enquêteurs : « Vous vous rendez compte, vous faites croire aux gens que vous vendez une bague. » Cependant, Danièle Gilbert a vigoureusement nié les accusations qui pesaient sur elle, qualifiant ces allégations de « trucs faux ».

Lors de son passage sur C8, elle a exprimé son désir de ne pas revenir sur cet épisode du passé, préférant ne pas le « ressasser ». Toutefois, elle a indiqué que sa démarche était sincère, soulignant que la bague en question était un cadeau reçu. « De toute façon, vu la vie de mes parents, et vu leur gaîté, leur optimisme et leur foi dans la vie, j’ai toujours dit que je n’avais pas le droit de me plaindre. », a-t-elle poursuivi sur C8.

Un passage en prison pour Danièle Gilbert

L’enquête avait révélé que ce marché basé sur les bagues avait généré près de 80 millions de francs, dont quatre millions avaient été attribués à Danièle Gilbert. À la suite d’un interrogatoire, l’ex-animatrice de télévision avait été placée en garde à vue, puis incarcérée à la maison d’arrêt de Nice pendant plusieurs jours. Dans une interview accordée à Télé Star en 2007, elle s’était remémorée cette période difficile, partageant le fait qu’ils étaient « trois dans une cellule de 9 m² ». « Je passais mon temps à regarder par la petite fenêtre en pensant à ma famille », avait-elle confié.

En outre, l’invitée de Jordan De Luxe a déploré la période sombre qui a suivi son éviction de la télévision en 1982. Selon les propos de la principale concernée, elle aurait été évincée de la première chaîne sans préavis, qualifiant cette éviction de « licenciement politique ». Elle a ouvertement accusé François Mitterrand, nouvellement élu président de la République à l’époque, de ne pas avoir toléré sa relation supposée avec son prédécesseur, Valéry Giscard d’Estaing. Aucune procédure formelle n’a été suivie dans cette mise à l’écart, selon Danièle Gilbert.

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Une éviction de son poste d’animatrice de télévision sur laquelle elle a fait des révélations

« Je ne le connaissais pas, je l’ai rencontré deux fois dans ma vie pour des tournages et il n’y avait strictement rien. Ça a été une excuse en 1981 quand même. Oui, oui, ça a été politique. », avait assuré l’ancienne animatrice dans C à vous en 2021. Cette éviction a eu d’autres conséquences préjudiciables que celle de perdre son emploi, comme elle l’a révélé à Jordan De Luxe.

« Il faut quand même que je dise que quand on m’a virée, on ne m’a pas forcément dit : ‘La porte est là et vous pouvez sortir’, on m’a fait plein de choses. On m’a fait un contrôle fiscal sur dix ans, qui était nul et non avenu parce que je n’avais pas beaucoup de sous. », a détaillé Danièle Gilbert.





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