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ce terrible point commun entre les deux enquêtes, « On n’imagine pas qu’une disparition… »


Dans le contexte des disparitions du petit Émile dans les Alpes du Sud et de Lina en Alsace, le mystère persiste. Cependant, les unités de recherche de Strasbourg et de Marseille collaborent en partageant leurs méthodes de travail. Ils mutualisent des éléments techniques de l’enquête, et n’excluent pas la possibilité de mener des vérifications conjointes. Des rapprochements qui alimentent les rumeurs sur un éventuel criminel en série.

Les gendarmes ne laissent rien au hasard et explorent la moindre piste susceptible de résoudre les deux affaires. De leur côté, les familles des disparus ne perdent pas espoir de retrouver leurs proches. Alors que la famille d’Émile a lancé un nouvel appel à l’aide pour retrouver le garçonnet de 3 ans, la mère de Lina a créé une association appelée « Les bonnes étoiles de Lina » afin de soutenir la recherche de l’adolescente.

Le point sur les disparitions de Lina et Émile

À première vue, les disparitions de Lina et d’Émile semblent avoir peu de points communs. Pour rappel, c’est le petit garçon qui a disparu en premier. La dernière trace de vie du garçon remonte samedi 8 juillet 2023 dans le hameau du Haut-Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence, aux côtés de sa famille. Les enquêteurs ont d’abord porté leur attention sur les proches puis sur les habitants du village, sans succès jusqu’à présent.

Quant à l’adolescente, la famille n’a plus reçu aucun signe de vie depuis le samedi 23 septembre 2023. Ce jour-là, elle devait se rendre à pied à la gare de Plaine, dans le Bas-Rhin, afin de rejoindre son petit ami Tao à Strasbourg. Cependant, Lina n’est jamais arrivée à destination. Jusqu’à présent, les autorités n’ont pas réussi à retrouver les victimes. Des équipes de gendarmes travaillent à plein temps pour découvrir le moindre indice qui pourrait les conduire à résoudre ces deux enquêtes, comme l’a confirmé le Général Christian Rodriguez, directeur général de la gendarmerie.

Closer rapporte les propos du Général Christian Rodriguez qui a déclaré que les enquêteurs faisaient face à une grande difficulté, partagée par les deux affaires, et qui entrave la progression des enquêteurs. « C’est vrai qu’aujourd’hui, on n’imagine pas qu’une disparition puisse avoir lieu. Mais dans certains territoires, il n’y a pas de caméras de vidéosurveillance, il n’y a qu’un relais téléphonique et pas plusieurs », a-t-il expliqué.

Bien évidemment, le chef de la gendarmerie souligne que ses hommes n’ont pas abandonné l’idée d’arriver à résoudre ces deux enquêtes. « Il y a des moyens importants qui ont été mis en œuvre, toujours aujourd’hui. Les enquêteurs essaient de regarder toutes les pistes possibles »Les deux brigades chargées d’enquêter sur ces deux affaires de disparition, survenues à des centaines de kilomètres de distance, collaborent en partageant leurs méthodes de travail.

Émile et Lina

crédit photo : DR Les enquêteurs unissent leurs forces pour retrouver Émile et Lina.

Une piste en commun pour retrouver Lina et Émile ?

Le patron de la Gendarmerie explique qu’ils n’écartent aucune piste. « Tous les gendarmes y contribuent, car le cas d’un enlèvement fait partie aussi des hypothèses de travail. Tout le monde reste vigilant sur ces sujets, policiers comme gendarmes ». Un double enlèvement fait donc partie des hypothèses envisagées. Surtout qu’en croisant les données de bornage téléphonique, les deux sections de recherche auraient remarqué qu’une même personne se trouvait aux abords du Vernet le jour de la disparition d’Émile, et à proximité de la zone où Lina a été vue en vie pour la dernière fois.

ces deux disparitions.





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