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ce quartier très prisé de Paris dans lequel elle vit désormais, « Je paye mon loyer »


De son vrai nom Marie Laurence Nataf, Mallaury Nataf a incarné le personnage de Lola dans la série comédie Le Miel et les Abeilles dans les années 90, une production AB diffusée sur TF1. Elle a également fait une apparition de quelques épisodes dans la série Sous le Soleil, également diffusée sur TF1, en plus d’enchaîner quelques apparitions télé, jusqu’en 2006.

Aujourd’hui âgée de 52 ans et mère de trois enfants nés de deux unions différentes (Rafael né en 1998, Angéline née en 2001 et Shiloh né en 2009), Mallaury Nataf a connu une véritable descente aux enfers dans les années 2000. Entre burn-out, retrait de la garde de ses enfants et vie dans la rue, elle est revenue sur ses années difficiles sur le plateau de Ça commence aujourd’hui ce jeudi 11 avril 2024.

Une véritable descente aux enfers pour Mallaury Nataf

Après plusieurs années sous les feux des projecteurs en participant à différentes émissions de télévision françaises, Mallaury Nataf a vécu une véritable descente aux enfers. En effet, c’est à partir de l’arrêt de la série Le Miel et les Abeilles dans laquelle elle incarnait le personnage de Lola, que la vie de cette actrice a pris un nouveau tournant. Ce jeudi 11 avril, elle s’est confiée à Faustine Bollaert dans l’émission Ça commence aujourd’hui : « à partir du moment où je suis sortie des séries de TF1, sans suivi psychologique et psychanalytique, je n’ai pas cessé de glisser, comme une lente, infiniment lente, descente aux enfers, qui m’a menée à la rue ».

Sa situation précaire : pas d’emploi, pas de domicile fixe, et des dépendances lui a ensuite valu, en 2011, le retrait de la garde de ses trois enfants. « Le fait qu’on m’ait enlevé mes enfants, ça a été comme un coup de fusil qu’on m’a donné » explique-t-elle. C’est en 2017, après 8 ans de vie dans la rue, que ce premier calvaire se termine, mais il recommencera malheureusement en 2021, pendant deux ans.

aides de l’État, qui lui ont permis de s’en sortir et de pouvoir aujourd’hui vivre dans un quartier très prisé de Paris, tout en payant son loyer.

Quant à la relation avec ses enfants, elle reste, aujourd’hui encore, assez fragile. En effet, si elle a repris contact avec son fils aîné, sa fille ne souhaite plus lui parler et son fils cadet a, quant à lui, été placé à l’ASE « Mon petit, il est confié à l’ASE, donc à la DDASS, ça ne se passe pas très bien pour lui ».

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