Aya Nakamura : son compagnon montre ses blessures après avoir été agressé par des cambrioleurs
Ce jeudi 8 février, c’est sur Instagram que Vladimir Boudnikoff, le compagnon d’Aya Nakamura, s’est rendu pour montrer ses blessures à la suite de la violente agression dont il a été victime à son domicile dans la nuit de mardi 6 au mercredi 7 février dernier.
C’est un véritable fléau. Plusieurs semaines après Vitaa, Nikos Aliagas ou encore Sylvie Tellier, voilà qu’une autre personnalité a été la cible de malfaiteurs. Il s’agit cette fois-ci de Vladimir Boudnikoff, le compagnon et producteur de la chanteuse Aya Nakamura. D’après les informations du Parisien, les faits se seraient déroulés dans la nuit du mardi 6 au mercredi 7 février dernier dans la ville de Rosny-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.
Alors qu’il se trouvait à son domicile, Vladimir Boudnikoff a été pris pour cible par des cambrioleurs qui sont parvenus à rentrer en passant par une fenêtre située à proximité d’un studio d’enregistrement. Arrivés sur les lieux, les malfrats s’en sont pris au père de famille en lui assénant plusieurs coups de crosse sur le visage. Une agression particulièrement violente qui l’a obligé à se rendre à l’hôpital de Montreuil. Plusieurs heures après les faits, c’est sur Instagram que ce dernier a tenu à donner de ses nouvelles.
Vladimir Boudnikoff montre ses blessures après sa violente agression
À en croire sa photo publiée sur Instagram ce jeudi 8 février, Vladimir Boudnikoff a bel et bien repris du poil de la bête bien que, visiblement, ses agresseurs n’y soient pas allés de main morte. Sur le front, le bien-aimé d’Aya Nakamura apparaît avec une blessure de quelques centimètres, ainsi qu’une énorme ecchymose entourant son œil. Une apparence inquiétante, mais l’intéressé s’est tout de même voulu rassurant.
« Dieu merci tout va bien… Quelques points de sutures, quelques agrafes sur le crâne. Mais rien de grave… Ça aurait pu être pire… La tête dure comme là d’où je viens. Merci pour vos messages », a-t-il déclaré à ses nombreux abonnés. Plus de peur que de mal, visiblement.
