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Andrew et Harry ne peuvent pas remplacer le roi en cas d’incapacité


Les princes Andrew et Harry, tous deux en retrait de la famille royale britannique, ont perdu leur rôle de remplaçants potentiels du roi Charles III en cas d’absence et maladie. Cette mesure découle d’une loi datant de fin 2022 passée alors inaperçue.

Le quotidien britannique The Times a fait état de cette précision protocolaire vendredi au moment où le roi et la princesse Kate sont tous les deux en retrait forcé pour des problèmes de santé, tout comme le prince héritier William, au chevet de sa femme après son opération.

Un « conseiller d’Etat » est un membre de la famille royale à qui le monarque peut déléguer certaines de ses fonctions en cas de maladie ou déplacement à l’étranger. Il s’agit généralement, en plus du consort du roi, soit la reine Camilla, des quatre premiers adultes âgés de plus de 21 ans dans l’ordre de succession au trône, soit les princes William, Harry, Andrew et sa fille aînée, la princesse Beatrice.

En retrait de la famille royale

Mais le sujet a été mis sur la table quand Charles III est monté sur le trône en 2022, car trois de ces membres n’étaient déjà plus actifs au sein de la monarchie.

Le prince Harry, fils cadet du roi Charles III, et son épouse Meghan ont en effet décidé de se mettre en retrait de la famille royale en 2020 et de s’installer aux Etats-Unis. Quant au prince Andrew, il est en retrait de la monarchie en raison de ses liens avec le défunt financier américain Jeffrey Epstein et d’accusations d’agressions sexuelles soldées par un accord financier.

Afin de clarifier la situation, la famille royale a précisé, dans le cadre d’une loi adoptée par le Parlement britannique en novembre 2022, que « seuls ses membres actifs » pouvaient « en pratique » agir comme conseillers d’Etat, même si les membres non actifs conservent ce titre.

La loi adoptée fin 2022 indique que Charles III a décidé d’accorder la fonction de « conseiller d’Etat » à sa soeur la princesse Anne et à son frère Edward. Buckingham Palace a toutefois tenu à préciser que le roi n’aurait pas besoin de faire appel à ses conseillers d’Etat pour le remplacer la semaine prochaine, lorsqu’il subira une intervention pour une hypertrophie bénigne de la prostate.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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