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Amanda Lear revient sur sa terrible expérience avec un célèbre producteur américain : « Il m’a ouvert en pyjama… » (ZAPTV)



Dans C l’hebdo ce 17 février 2024, Amanda Lear est revenue sur sa brillante carrière. Mais aussi sur les mauvaises rencontres. En tant que femme, l’invitée de marque d’Aurélie Casse a également par le passé croisé la route de prédateurs…

L’heure est aux confidences pour Amanda Lear. Etant actuellement à l’affiche de la pièce L’Argent de la Vieille au Théâtre Libre de Paris, l’interprète de Follow Me a été conviée sur le plateau de C l’hebdo ce samedi 17 février 2024. Comme à son habitude, la principale concernée a multiplié les anecdotes la concernant. Ayant pendant plusieurs années été la muse de Salvador Dali, impossible pour elle de ne pas l’évoquer à l’antenne. « Ce sont des souvenirs extraordinaires parce que là maintenant je parle beaucoup, mais à l’époque je ne disais rien. J’étais mannequin, j’étais là pour faire joli et j’ai beaucoup appris avec lui parce que c’est un homme de spectacle », a révélé Amanda Lear après la diffusion d’archives de son ancien mentor.

Toutefois, celle qui a longtemps laisser planer le doute quant à son âge a reconnu qu’il a aussi été tyrannique et envahissant. S’étant illustrée dans d’innombrables domaines, son plus grand bonheur à ce jour est de s’épanouir sur les planches. Indépendante et solitaire, Amanda Lear a appris à se faire confiance au fil du temps. « On est en pleine révolution MeToo, est-ce que vous-même vous avez eu l’impression d’être une proie ? », s’est alors interrogée Aurélie Casse très attentive à son discours. « Plus maintenant (…) », a affirmé son interlocutrice.

« Le Harvey Weinstein de l’époque… »

« Cela veut dire que cela s’est passé avant ? », a renchéri la présentatrice. Ce à quoi Amanda Lear a répondu sans filtre : « Oui, mais c’est normal dans le show bizz (…). Même avant de faire du cinéma ou du théâtre, quand j’étais mannequin, les filles, on était traitées comme des objets ». A son grand dam dès qu’elle « ouvrait la bouche », le milieu lui faisait bien comprendre qu’il fallait se taire. « On n’avait rien à dire, on était simplement des filles à photographier. Et c’est très humiliant (…) », a regretté la star. « Parfois même un photographe vous met la main aux fesses, bah maintenant je sais ce qu’il faut faire (…) ! On s’en va ».

Dans la foulée, Amanda Lear est revenue sur une « expérience assez désagréable à New York » avec un « gros producteur de cinéma américain ». « Le Harvey Weinstein de l’époque (…) », a précisé la comédienne. « Il m’a convoquée pour faire un bout d’essai ». Pour pouvoir le faire, ce dernier l’a convoquée sans ciller dans sa « suite » dans un hôtel Plaza. « Moi à trois heures de l’après-midi j’ai été sonner à sa porte (…). Et il m’a ouvert en pyjama… Et là, il me dirige vers la chambre », a révélé l’ex-animatrice télé. Ni une ni deux, Amanda Lear a plié bagage sans demander son reste : « Peut-être que si j’avais voulu faire carrière à Hollywood, j’aurais dû rester hein ! (…) Mais il y a beaucoup de filles qui seraient certainement tombées dans le piège ». Des rares confidences qui ont glacé l’ensemble du plateau…



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